Soyez honnêtes, vous n’avez que ce que vous demandez : du grain à moudre et Sarko, c’est clair, il vous en donne, vous n’attendez que cela ! Cependant, les « choses » n’ont que l’importance qu’on veut bien leur accorder.
Autre petite réflexion qui n’a rien à voir forcément avec ce sujet mais qui m’amène à penser un peu comme Calmos : sur l’utilité des votes sur chaque commentaire où l’on peut relever et ce sur l’ensemble des sujets qu’il s’agit bien plus d’un vote en fonction de la sensibilité que sur la pertinence.
Pour du journalisme, même s’il n’est pas pro, cela ne le fait pas trop.
« L’ensemble de l’article auquel vous faites référence me conforte dans cette idée que bon nombre de personnes sont encore loin d’avoir un rapport mature à l’Etat, et qu’ils exigent encore de lui d’être totale Providence, au point de lui reprocher inconsciemment de n’être pas assez répressif à leur égard. »
Effectivement et à un point où cela en devient gravissime.
C’est tellement « rassurant » de ne se sentir responsable de quoi que ce soit même de ses propres choix.
Une association loi 1901 fonctionne avec des dons, les cotisations des adhérents, des subventions, et là en l’occurence qqs 258 familles auraient fait des dons allant de 2500 € à 6000 €.
Ensuite le rôle du journaliste est l’information et pas le parti pris, toutes les profession ont un code de déontologie.
Le journaliste de Cappa s’est d’ailleurs exprimé sur sa position.
Enfin, on va se répéter : on ne peut condamner que lorsque les faits sont avérés. Quand M Breteau parlait d’adoption pour ces enfants, il a été entendu par les services de police et mis en garde courant août. Seulement, aprés, il n’a plus parlé d’adoption et a caché ses intentions même aux tchadiens faisant partie de l’équipe sur place (les reportages vidéo ne laissent planer aucun doute). Quand à condamner, c’est le travail de la justice pas de l’administration ou même de la police. Et la justice est indépendante, il lui faut juste des faits et des textes de loi.