Flic moi même, j’ai vecu la nuit, avec PAGAN lui même, puisque nous etions collègues, et amis de surcroit..
Je viens de finir ce matin la relecture de DERNIERE STATION AVANT L’AUTOROUTE.
Il n’ya rien à retrancher dans ce roman en partie auto biographique. Difficile de sortir intact quand on vit ce qu’on voit et que l’on voit ce que l’on vit. La nuit, complice et destructrice .......
A plus, Yan, bonne route pêut être nous reverrons nous du côté de ma ville natale. fred.