de manière générale, lors d’une dépression, un Anti-depresseur est co-prescrit avec un Anxiolytique pour justement empêcher le passage à l’acte, le suicide ; les psys le savent depuis déjà assez longtemps que prescrire un anti-depresseur seul, pour une dépression majeure, est criminel !
« le nouveau DSM va tellement ouvrir le champs de la maladie mentale », ce qui est tout à fait normal puisque la pathologie Psychiatrique est très complexe et reste encore à découvrir ; à l’heure de la neuro-biologie, de moyens d’exploration du cerveau et du champs sémiologique qui ne cessent de se développer.
Je vous rejoins sur le fait de la répertoration des pathologies psychiatriques dans le DSM semblent très arbitraire. Comment se baser sur un simple vote ?(souvent fait à main levée)
Mais enfin, pour revenir au vif du débat, sur le suicide ; une conduite suicidaire ne se résout pas par une simple prescription médicamenteuse, elle nécessite tout un cadre thérapeutique dont de nombreuses séances de psychothérapie, en somme rien qui relève du miracle..
Votre article soulève un point interessant : de trop nombreuses conduites suicidaires, même chez des patients suivis et sous traitement.
Je dirais que la montée du taux de suicide n’est autre que le fruit de notre socièté actuelle.
Il est bon de citer qq facteurs de risque : Isolement familial et social, mauvaise qualité de l’entourage, difficulté financière et professionelle, Evenement de vie stressant, Impulsivité, Abus ou dépendance à un produit psychoactif, pathologie somatique, trouble psychiatrique, maltraitance ou abus sexuel dans l’enfance..