La différence pauvre/riche n’est pas tant "mauvaise" dans la valeur financiére, mais dans le "pouvoir" que celle-ci donne désormais. Les "riches" ont toujours été capables d’éviter certaines contraintes (être riche pour se faciliter la vie c’est logique), mais cette situation s’aggrave de jour en jour (Sarkozy ou non je ne pense pas que ça change grand chose. Peut-être une légére accélération).
Nous nous trouvons dans une situation où les implications que j’appellerais citoyennes (implication politique, associative, ....) deviennent de plus en plus réservés à une élite "financiére" au détriment de gens qui n’ont pour seul luxe que de pouvoir penser "égoïstement" à leur survie.
Aprés cette "élite" peut essayer de correctement remplir cette mission, mais si certaines couches sociales ne sont plus représentées, ni même consultées dans des processus de "décisions" qu régissent leur vie, il n’est pas étonnant que celles-ci se sentent délaissé, voire méprisées par des groupes qui ont en commun une seule chose, à savoir leur situation financiére.