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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus fergus 23 avril 2007 13:51

    Nicolas Sarkozy voulait “assécher” le vote FN. Il a réussi au-delà de ses espérances en... s’alignant sur quelques-unes des pires positions de Le Pen. Avec l’aide du séguiniste Henri Guaino, il va maintenant nous rejouer le coup de la “fracture sociale” pour gagner au centre et chez les gaullistes réticents les voix qui lui manquent pour l’emporter le 6 mai. En spécialiste des grands écarts politiques (il l’a amplement démontré durant sa campagne de 1er tour), M. Sarkozy est parfaitement capable de rassembler une majorité des Français sur son nom. Avec le concours d’une Assemblée Nationale à son service (hypothèse probable en cas de victoire), il disposerait alors des outils nécessaires pour appliquer la politique atlantiste, libérale et sécuritaire dure dont il rêve. Avec beaucoup de cynisme, Jacques Chirac a dit un jour : “Les promesses n’engagent que ceux qui les croient” ; il a également dit à Juppé le soir de sa réelection en 2002 avec 82% des voix : “Maintenant, on n’a plus de raisons de se faire chier !” Que les Français ne se fassent pas d’illusions sur la réalité des promesses sociales de Nicolas Sarkozy : en matière de cynisme, l’élève a dépassé le maître et il le démontrera avec brutalité dans l’avenir si l’on ne réagit pas à temps pour empêcher une dangereuse dérive vers un modèle anglo-saxon profondément inégalitaire et destructeur de cohésion sociale ! Voter Ségolène Royal n’est peut-être pas le choix idéal, mais c’est assurément le moins périlleux pour notre pays et ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Je ne doute pas que, dans leur grande majorité, les centristes s’en rendront compte et contribueront par leur vote à barrer la route à la tentation néo-conservatrice de « Sarkozy l’américain ».



  • Fergus fergus 23 avril 2007 11:28

    Nicolas Sarkozy voulait “assécher” le vote FN. Il a réussi au-delà de ses espérances en... s’alignant sur quelques-unes des pires positions de Le Pen. Avec l’aide du séguiniste Henri Guaino, il va maintenant nous rejouer le coup de la “fracture sociale” pour gagner au centre et chez les gaullistes réticents les voix qui lui manquent pour l’emporter le 6 mai. En spécialiste des grands écarts politiques (il l’a amplement démontré durant sa campagne de 1er tour), M. Sarkozy est parfaitement capable de rassembler une majorité des Français sur son nom. Avec le concours d’une Assemblée Nationale à son service (hypothèse probable en cas de victoire), il disposerait alors des outils nécessaires pour appliquer la politique atlantiste, libérale et sécuritaire dure dont il rêve. Avec beaucoup de cynisme, Jacques Chirac a dit un jour : “Les promesses n’engagent que ceux qui les croient” ; il a également dit à Juppé le soir de sa réelection en 2002 avec 82% des voix : “Maintenant, on n’a plus de raisons de se faire chier !” Que les Français ne se fassent pas d’illusions sur la réalité des promesses sociales de Nicolas Sarkozy : en matière de cynisme, l’élève a dépassé le maître et il le démontrera avec brutalité dans l’avenir si l’on ne réagit pas à temps pour empêcher une dangereuse dérive vers un modèle anglo-saxon profondément inégalitaire et destructeur de cohésion sociale ! Voter Ségolène Royal n’est peut-être pas le choix idéal, mais c’est assurément le moins périlleux pour notre pays et ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Je ne doute pas que, dans leur grande majorité, les centristes s’en rendront compte et contribueront par leur vote à barrer la route à la tentation néo-conservatrice. de « Sarkozy l’américain ».

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