http://www.upr.fr/non-classe/le-traite-de-rome « Dans cette Europe « intégrée » comme on dit, il n’y aurait
peut-être pas de politique du tout. Cela simplifierait beaucoup les
choses. En effet, dès lors qu’il n’y aurait pas une politique faute
qu’on puisse en imposer une à chacun des Six États, on s’abstiendrait
d’en faire. Mais alors peut-être ce monde se mettrait-il à la suite de
quelqu’un du dehors qui, lui, en aurait une. Il y aurait peut-être un
fédérateur, mais il ne serait pas Européen ».
Conférence de presse de Charles de Gaulle – 15 mai 1962 – Palais de l’Élysée