pourquoi dsk est devenu pervers -> ici
le cocubiange fait bcp degat dans le cerveau de jeunes
l’article ici le decrit.
Le père de Dominique Strauss-Kahn, Gilbert, était à moitié juif. Mais il
ne s’appelait pas Strauss-Kahn à sa naissance. Une grande partie de sa
vie, on le connut simplement sous le nom de Gilbert Strauss. En fait, il
avait deux pères. L’un, naturel, s’appelait Strauss, et l’autre,
adoptif, Kahn. Ils aimèrent la même femme et en eurent chacun un enfant.
Cette histoire peu ordinaire mérite quelques explications. Le père
naturel de Gilbert Strauss, Gaston, était né en 1875 à Bischwiller dans
une de ces familles juives installées depuis plusieurs siècles en
Alsace. Ce juif non pratiquant avait épousé une catholique lorraine de
Lunéville, Yvonne Stengel, de dix-sept ans sa cadette, vendeuse dans le
magasin de sa propre soeur aînée en Alsace. Il l’emmena à Paris, où il
monta un négoce d’éponges. Son commerce était prospère, le couple était
heureux. Gaston Strauss est âgé de 39 ans en 1914, lorsqu’il part au
front. Après son retour définitif, son épouse Yvonne accouche le 11
décembre 1918 d’un petit Gilbert, qui sera le père de Dominique
Strauss-Kahn. Au milieu des années 20, les Strauss accueillent chez eux,
dans le 20e arrondissement de Paris, un jeune cousin de Gaston qui
vient également d’Alsace, il s’appelle Marius Kahn. Ses parents
voudraient faire de lui un rabbin. Marius ne rêve que d’une chose :
quitter son milieu d’origine pour partir à la conquête d’un monde plein
de promesses en ce lendemain de guerre mondiale. C’est ainsi qu’il
s’installe à Paris où, tout en étudiant le droit, il travaille comme
acheteur pour la SPC (Société parisienne de confection), fournisseur des
Galeries Lafayette. Dans la capitale, il découvre la modernité, le
socialisme et... sa cousine Yvonne, l’épouse de Gaston Strauss, qui
l’héberge. Marius est un tout jeune homme d’une vingtaine d’années et
Yvonne en a près de 35. Son mari Gaston, victime des gaz allemands
pendant la Grande Guerre, est un quinquagénaire prématurément vieilli,
aussi Marius s’impose- t-il peu à peu comme l’homme de la maison. Le
« vieux » Strauss ne pouvant plus voyager, le jeune Kahn emmène Yvonne
visiter l’Espagne pendant six mois, avec, semble-t-il, l’assentiment du
mari. Gaston Strauss a vraiment l’esprit large et beaucoup de
générosité. Sentant sa fin proche, il laisse sa famille se recomposer
sous ses yeux. Yvonne et lui ont donc un fils, Gilbert, né en 1918, le
futur père de Dominique Strauss-Kahn. Du vivant de Gaston, en 1931,
Yvonne et Marius ont eu une fille, Elise, surnommée Lisette dans la
famille. Gaston étant mort en 1934, Marius épouse Yvonne l’année
suivante. A la fin de la décennie 40, il adoptera Gilbert, le fils de
Gaston, et aussi... Elise Strauss, sa propre fille naturelle, que le
défunt avait reconnue pour qu’elle naisse d’une union légitime. Quant au
père de DSK, il devient pour l’état civil Gilbert Strauss-Kahn. "Mon
père, se rappelle Dominique Strauss-Kahn, ne rejetait pas Marius. Au
contraire, ils étaient très proches. Ils ont même été associés
professionnellement. Mais il n’arrivait pas à le considérer comme un
père. N’ayant que quatorze ans de différence avec lui, mon père
considérait Marius comme un grand frère. Moi, en revanche, j’ai toujours
vu en lui mon grand-père. Si, dans ma jeunesse, je me faisais appeler
Strauss, comme mon père, à partir des années 70, j’ai voulu me faire
appeler Strauss-Kahn, conformément à mon état civil. C’était une manière
de montrer mon attachement à mon grand-père et aussi d’affirmer mon
identité juive qui avait été réveillée par la guerre des Six- Jours en
1967, puis celle du Kippour en 1973."
suite ici.
Qui est vraiment Dominique Strauss-Kahn - Le Point
pourquoi dsk est devenu pervers -> ici il faut remonter dans les annes 1900.
son grand-pere s’est fait cocufier à 500% :
c’etait le grand libertinage chez eux.
grand-pere a fait menage à 3 : lui, sa femme et l’amant de sa femme.
c’est ceal qui a rendu dsk pervers psychopate.
il se venge sur les femmes qui ont fait soufrir son pere et son grand pere.
l’article ici le decrit.
Le père de Dominique Strauss-Kahn, Gilbert, était à moitié juif. Mais il
ne s’appelait pas Strauss-Kahn à sa naissance. Une grande partie de sa
vie, on le connut simplement sous le nom de Gilbert Strauss. En fait, il
avait deux pères. L’un, naturel, s’appelait Strauss, et l’autre,
adoptif, Kahn. Ils aimèrent la même femme et en eurent chacun un enfant.
Cette histoire peu ordinaire mérite quelques explications. Le père
naturel de Gilbert Strauss, Gaston, était né en 1875 à Bischwiller dans
une de ces familles juives installées depuis plusieurs siècles en
Alsace. Ce juif non pratiquant avait épousé une catholique lorraine de
Lunéville, Yvonne Stengel, de dix-sept ans sa cadette, vendeuse dans le
magasin de sa propre soeur aînée en Alsace. Il l’emmena à Paris, où il
monta un négoce d’éponges. Son commerce était prospère, le couple était
heureux. Gaston Strauss est âgé de 39 ans en 1914, lorsqu’il part au
front. Après son retour définitif, son épouse Yvonne accouche le 11
décembre 1918 d’un petit Gilbert, qui sera le père de Dominique
Strauss-Kahn. Au milieu des années 20, les Strauss accueillent chez eux,
dans le 20e arrondissement de Paris, un jeune cousin de Gaston qui
vient également d’Alsace, il s’appelle Marius Kahn. Ses parents
voudraient faire de lui un rabbin. Marius ne rêve que d’une chose :
quitter son milieu d’origine pour partir à la conquête d’un monde plein
de promesses en ce lendemain de guerre mondiale. C’est ainsi qu’il
s’installe à Paris où, tout en étudiant le droit, il travaille comme
acheteur pour la SPC (Société parisienne de confection), fournisseur des
Galeries Lafayette. Dans la capitale, il découvre la modernité, le
socialisme et... sa cousine Yvonne, l’épouse de Gaston Strauss, qui
l’héberge. Marius est un tout jeune homme d’une vingtaine d’années et
Yvonne en a près de 35. Son mari Gaston, victime des gaz allemands
pendant la Grande Guerre, est un quinquagénaire prématurément vieilli,
aussi Marius s’impose- t-il peu à peu comme l’homme de la maison. Le
« vieux » Strauss ne pouvant plus voyager, le jeune Kahn emmène Yvonne
visiter l’Espagne pendant six mois, avec, semble-t-il, l’assentiment du
mari. Gaston Strauss a vraiment l’esprit large et beaucoup de
générosité. Sentant sa fin proche, il laisse sa famille se recomposer
sous ses yeux. Yvonne et lui ont donc un fils, Gilbert, né en 1918, le
futur père de Dominique Strauss-Kahn. Du vivant de Gaston, en 1931,
Yvonne et Marius ont eu une fille, Elise, surnommée Lisette dans la
famille. Gaston étant mort en 1934, Marius épouse Yvonne l’année
suivante. A la fin de la décennie 40, il adoptera Gilbert, le fils de
Gaston, et aussi... Elise Strauss, sa propre fille naturelle, que le
défunt avait reconnue pour qu’elle naisse d’une union légitime. Quant au
père de DSK, il devient pour l’état civil Gilbert Strauss-Kahn. "Mon
père, se rappelle Dominique Strauss-Kahn, ne rejetait pas Marius. Au
contraire, ils étaient très proches. Ils ont même été associés
professionnellement. Mais il n’arrivait pas à le considérer comme un
père. N’ayant que quatorze ans de différence avec lui, mon père
considérait Marius comme un grand frère. Moi, en revanche, j’ai toujours
vu en lui mon grand-père. Si, dans ma jeunesse, je me faisais appeler
Strauss, comme mon père, à partir des années 70, j’ai voulu me faire
appeler Strauss-Kahn, conformément à mon état civil. C’était une manière
de montrer mon attachement à mon grand-père et aussi d’affirmer mon
identité juive qui avait été réveillée par la guerre des Six- Jours en
1967, puis celle du Kippour en 1973."
suite ici.
Qui est vraiment Dominique Strauss-Kahn - Le Point