L’auteur a livré le portrait du représentant poétique d’une cause juste : celle du peuple palestinien. Celle de l’homme moderne, privé de l’essentiel : une maison avec porte, des enfants et un honneur. En France, on n’a voulu garder de Darwich que ce qui cache sa Palestine, on a même fait pire, on l’a peint comme on a peint tous les palestiniens, un peuple imaginaire, un poète imaginaire, sans père ni mère, en appuyant la formule du poète universel, oui c’était un poète palestinien universel, c’est cela surtout la vérité