• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

francis

francis

Je ne suis personne et tout le monde.
On m’a amené la, alors je vie.
Et j’aime diablement la vie.
Mon cursus ? Quelle importance ?
Je suis comme beaucoup d’entre vous, je pense.
Au sens propre du terme.
Et cela me donne donc le droit de dire : non
Mais aussi de dire : oui
Je vous l’avais dit, je ne suis personne..

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 94 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • francis francis 14 novembre 2011 18:39

    Je suis stupéfait par votre article.

    Il existe, comme cela, des hommes, des femmes, capables de résumer en quelque ligne

    ce que nous pressentons.

    Vraiment excellent, vraiment !

    Faudrait l’accrocher au mur dit chantecler, il a parfaitement raison.

    Moi, j’aimerais bien savoir une chose, quels sont nos moyens pour reprendre, un

    tout petit peu, le contrôle de tout cela ?

    Quelqu’un a t’il une idée ?



  • francis francis 3 novembre 2011 10:15

    Bonjour

    Curieux, après avoir lu votre article, j’ai eu le sentiment de l’avoir toujours attendu...

    Votre synthèse me parait tellement juste ! Finalement, moi qui ne suis pas chercheur, j’ai suivit. un chemin identique au votre (Je ne vais pas résumer votre démarche tout de même).

    Dans les années 80, j’ai, réellement souffert en faisant des recherches, soit dans les bibliothèques, soit ailleurs. Je sentais, à ce moment la, déjà, mais oui déjà que quelque chose n’allait pas. Je perdais mon temps, voila le sentiment que je ressentais... J’avais en moi un désir profond que tout cela change et... vite.

    Internet ne fut donc pas une surprise lorsqu’il apparut. Je bondissais dessus avec un vieux modem à 9600 bauds, terriblement lent, mais ouvrant une autre voie à la recherche de documents.

    Ce qu’internet ne fera jamais, c’est la synthèse intelligente de plusieurs documents.

    La philosophie... en ce jour, semble perdue à tout jamais, pourtant, c’est bien elle, qui, par ses concepts permet la synthèse humaine des choses scientifiques. Pour l’instant, elle est un peu au rencard et pourtant, et pourtant... Dans l’hôpital universitaire ou je travaille encore, je la vois poindre avec courage. Sous une timidité feinte, elle est présente et très présente, même si, selon moi, elle a encore bien du chemin à faire.

    Nos recherches sont, et c’est une nouveauté datant de quelques années, subordonnée à notre comité d’éthique... Tiens Tiens... ça c’est une nouveauté, même si elle est timidement mise en avant... Il n’y aurait donc pas que la recherche pure, mais aussi une recherche encadrée par une certaine forme de sagesse. C’est nouveau cela !

    Et puis, et puis, je ne cesse de lire le point de vue philosophique de tant de chercheurs, qui s’interrogent, se posent mille questions, en sortant du cadre pur et dur de la recherche.

    Faut-il ? Ne faut-il pas ? Doit-on y aller ? Ne doit on pas y aller, son des interrogations permanentes sur le net.

    www.implications-philosophiques.org/qui...nous/comite-scientifique

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Chaire_de_recherche_et_d%27enseignement_La_philosophie_dans_le_monde_actuel

    http://www.escpeurope.eu/fr/faculte-recherche/centres-de-recherche/centre-de-recherche-en-philosophie-economique-crephe-escp-europe/

    http://www.univ-rennes1.fr/newsletter/2011-01/uneactu//Philosophie___recherche_fondamentale_et_appliqu_e_en_bio_t hique.cid58673

    Monsieur, je ne vous connais pas, mais je lis vos articles avec passion.
    J’ai 58 ans et toujours en moi cet espoir que l’on dit enfantin, qu’on se penche scientifiquement, certes, mais aussi humainement sur le domaine de la recherche.

    Je vous donne un avis qui vaut ce qu’il vaut : Nous allons franchir un cap d’ici quelques années, peut être ni vous ni moi ne le verrons, mais il sera bien franchi. Ce cap sera le retour à la philosophie par l’intermédiaire de comités de sages permettant, par leur recul, de replacer dans un contexte humainement global, une proposition de recherche et d’aider le chercheur en replaçant son excellent travail dans l’univers)

    C’est peut être un rêve, peut-être pas. Les différents liens que je vous ai soumis ci-dessus m’incite à l’optimisme.

    Je ne peux incriminer la jeunesse présente dans nos laboratoires.(Vous n’incriminez personne, je tiens à le souligner cette phrase est purement personnelle) Finalement, lorsque je les regarde, si je suis honnête, c’est moi à cet âge que je vois... C’est ainsi... Mais nous pouvons mettre en place d’autres structures que les comités d’éthique pour tenter de conseiller cette jeunesse, de lui montrer certains aboutissements potentiellement néfastes de leur travail, ou au contraire les encourager avec force lorsque leurs travaux avancent.

    Le monde scientifique aurait donc perdu un certain équilibre en se centrant sur la recherche pure et en oubliant tout simplement ce que j’appellerai la vie.

    Affirmation douteuse s’il en est.... Je n’en suis pas sur du tout.

    Une chose est sure... ouf ! je suis enfin débarrassé, ou presque, des bibliothèques, maintenant, je réfléchis à l’aide philosophique pouvant être proposée aux jeunes.

    J’y réfléchis...

    Merci en tous cas pour ce moment passé avec vous.

    Il est vrai que sans internet, je n’aurais pas eu l’outrecuidance  (Confiance excessive en soi-même ; présomption, prétention) de vous répondre. Mais ce fut un plaisir.

    A bientôt , toujours à votre écoute

    Francis Montpellier



  • francis francis 23 juillet 2011 17:48

    Clojea :

    Je ne souhaite nullement vous agresser, en tous cas, ne prenez-pas mes paroles comme telles.

    Votre billet, écrit ici me laisse songeur Vous exprimez VOTRE opinion et parlez au nom des morts De quel droit ? Pouvez-vous me dire vos compétences pour parler à la place d’un mort ?

    Responsable, lorsqu’on est mort, ne veut strictement rien dire Vous raisonnez comme un vivant alors que eux sont partis .
    Et puis que cherchez vous à faire ? Minimiser leur acte désespéré, leur dernier acte ?

    Cela ne tient pas, d’autant que vous endossez le rôle de moraliste : je cite :

    Etait-elle en dépression ? Et si oui, se soignait-elle ? Etc... On ne peut pas mettre tout sur le dos de la socité ou la personne travaillait, trop réducteur.

    Enfin, je suis content d’une chose, c’est que vous êtes un bien pensant .
    Et ça c’est bien ! Un bien pensant comme ce chef d’entreprise de France Telecom qui parlait de « mode du suicide »

    C’est ainsi, il y a ceux qui sont des mauvais pensants, moi par exemple, et vous qui êtes le seul à avoir comprit, à avoir tout comprit

    Monsieur, vous ne savez pas ce qu’est un suicide et ne le comprendrez jamais tant vos convictions de comptoir sont ancrées en vous.

    Si je vous parlais des gens qui se ont tenté de se suicider mais qui ont survécu, vous seriez incapable de suivre leur démarche . Cela fait pourtant partie de mon métier que de côtoyer ces désespérés de la vie. Leurs mots dépassent largement le cadre de vos piteuses lignes. En fait, vous n’y connaissez rien, mais êtes heureux de vous croire un être complet car ici, on vous laisse écrire ce que vous voulez... vous devenez donc un être important, celui qui dit, même s’il ne dit que des âneries.

    Je peux vous dire une chose, TOUS les mots que vous employez, « courage, lâcheté, responsable » sont totalement ineptes dans une telle situation. Il ne s’agit absolument pas de cela lorsqu’on tente de se suicider.

    Mais je vous en prie, continuez d’écrire des inepties, juste pour me faire rire .

    Et puis, venez donc faire un tour dans les services de psychiatrie, dans les services de médecine ou ces irresponsables, comme vous dites échouent inévitablement. Puis, vous fermerez la porte de la chambre, comme je le fais si souvent et au lieu de parler, vous écouterez ce que ces gens ont à dire. Alors, et bien cela vous aidera à devenir un être
    un peu plus sensible à son prochain, je l’espère.

    Finalement oui, vous êtes un rigolo sans avis.



  • francis francis 21 juillet 2011 15:48

    J’aime beaucoup cet article ainsi que les commentaires qui suivent et vont nous amener, eux-aussi, un regard encore plus en profondeur

    Quelque chose m’étonne malgré tout.

    Aucun nom, aucune allusion à des entreprises précises...

    Mais dans quel monde vivons-nous pour qu’on ait tant peur, tout simplement, de dire.

    Ce que je vois dans tout cela, la puissance incommensurable et détestable des entreprises

    qui nous font tourner la tête plutôt que dire..

    Je c rois que nous sommes à un tournant très grave du langage.

    Une partie de notre liberté vient de foutre le camp...



  • francis francis 16 juillet 2011 06:36

    Un autre décide de prendre l’ascenseur alors que celui-ci est déjà parti, et pour se faire, défonce la porte avec un scooter

    J’ai, aussi, beaucoup aimé votre article, juste une précision, l’homme n’est pas sur un scooter, mais sur un fauteuil handicapé motorisé.

    Cela peut, peut-être expliquer sa colère car nous ne connaissons pas son type de handicap, est-il physique, mental ? Les deux ? Souffre t’il donc de troubles du jugement, on peut tout supposer. En tous cas, tout cela m’a bien diverti !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv