La loi et le romant historique américain placent sur un piédéstal « La vie, la liberté et la poursuite du bonheur » Le revenu par habitant en Amérique a plus que doublé depuis 1972 , l’industrie américaine produit plus de 10 milliards de dollars par an de service et de divertissement. Environ 118 milliards de dollars pour les voyages a l’étranger, (parmi d’autres dépenses de recherche du bonheur)
Mis en réalité , les États-Unis ont le taux d’utilisation d’antidépresseurs le plus élevé au monde. Ils ne se classent au 18e rang sur 156 pays selon le World Happiness Report 2018, bien au-dessous des autres pays « riches ». Le rédacteur en chef du DHR2018 Jeffrey Sachs, déclare que « les tendances ne sont pas bonnes et que la position comparative des États-Unis par rapport à d’autres pays à revenu élevé est alarmante ».
Il attribue cette divergence à l’obésité, à l’abus de drogues et à la dépression, problèmes associés à l’insatisfaction dans la vie.
De facon matérialiste, par la valorisation du travail pour réussir, généralement interprétée comme l’accumulation de ce que l’argent semble acheter, de possessions matérielles. Acquérir autant d’argent que possible procure un sentiment d’estime de soi, on s’enrichit aussi du respect et de la reconnaissance des autres. Nous avons l’impression qu’être riche équivaut à être heureux, alors nous sommes prêts à faire tout ce qu’il faut pour devenir riche, respecté, reconus.
Critique du matérialisme(?) Plus nous nous concentrons sur les choses qui nous apportent du plaisir, plus vite le sentiment s’estompe et perd de son importance. revenant ainsi à notre point de départ et finissant dans le même état que nous ne l’étions auparavant. C’est une course folle, où nous sommes constamment à la recherche de nouvelles sources de plaisir au fur et à mesure que les anciennes expirent.
Le bonheur dépend des autres.
[Alerte ; sources manquante ; protection opérateur : Faux et usage de faux]
[Alerte ; usage de variables non définie ; protection opérateur : Mystification]
Contrairement à la perception courante, je crois que les relations étroites, et non les possessions, sont la clé du bonheur. Lorsqu’on lui a demandé de résumer des décennies de recherche dans le domaine de la psychologie positive, le célèbre psychologue Chris Peterson a répondu que « les autres personnes comptent ».
L’amitié et les liens sociaux, plus que l’argent et la célébrité, sont ce qui rend les gens heureux. Ceux qui partenaient à une communauté vivaient non seulement des vies plus heureuses, mais aussi des vies plus longues. Son directeur Robert Waldinger a déclaré que « la solitude tue. C’est aussi puissant que le tabagisme ou l’alcoolisme ».
La sagesse de la Kabbale a discuté de ce principe depuis des milliers d’années : le vrai bonheur ne peut être trouvé que par une connexion humaine positive, dans notre unité collective, où chaque personne est tournée vers l’extérieur, vers ses amis et la société. Mais pourquoi ?
En quoi le fait de donner et de se connecter positivement aux autres peut-il apporter un bonheur illimité ?
[Alerte ; usage de variables non définie ; protection opérateur : Mystification]
Ce qui limite notre bonheur, c’est le souci de nous-mêmes, lorsque nous essayons de nous réjouir individuellement et aux dépens des autres. Selon la Kabbale, la nature humaine est un désir de jouir, d’étre heureux. Cependant, bien que tous nos désirs travaillent constamment pour [désamorcage liturgique] nous rendre heureux, nous ne savons pas comment en profiter.
Comme l’ont montré les exemples mentionnés ci-dessus, nous interprétons ce désir de jouir en termes de désirs de richesses, de pouvoirs, de connaissances.Ces formes corporelles et matérielles de jouissance ont toutes un dénominateur commun : nous essayons de nous satisfaire individuellement aux dépens des autres.
Le problème avec la jouissance [...] dirigé vers soi est qu’expire au moment où nous l’éprouvons. Il en va ainsi lorsque nous mangeons : notre faim une fois satisfaite à la fin du repas, nous ne voulons plus manger. Et il en est de même de nos autres désirs corporels : ils s’estompent tous une fois satisfaits. [couic]
Les fondateurs de la sagesse de la Kabbale se sont rendu [désamorcage liturgique] compte de ce problème de la nature humaine et ont cherché une solution : le désir de jouir est redirigé et comble les autres, et bien que nous ne voyions aucun profit direct d’un tel penchant, c’est en fait la clé pour jouir et être heureux sans limites.
Les kabbalistes ont découvert une source de bonheur, un désir opposé à notre [désamorcage liturgique] nature, une qualité de don, d’amour et de connexion. Quand nous essayons d’imiter cette qualité, en essayant de donner, d’aimer et de nous connecter aux autres, alors cela nous influence et nous change, nous mettant davantage en équilibre avec la nature, plus heureux.
Titre rabâchant la double paraphrase jumelée de conclusion :
[Alerte ; sources manquante ; protection opérateur : Faux et usage de faux]
La science du bonheur et la psychologie positive ont émergé pour étudier ce qui nous rend heureux et ce qui fait obstacle au bonheur des gens.
[Selection propagandaKabUs.txt]Ces domaines parviennent aux conclusions que la sagesse de la Kabbale : Donner nous rend en fait beaucoup plus heureux que recevoir.[fin de séléction]
Mais bon vous trouvez pleins de trace comme quoi extradition libre échange et coopération en renseignement franco-truc, c’est plié depuis 70 ans, et qu’on n’a négocié que des broutille depuis.