Francois Vial 75

Sans doute un bug : en tant qu’auteur, je peux certes replier tous les messages, mais je ne l’ai fait que pour un seul, qui constituait un appel au meurtre.

Pitoyable stratégie de Monsieur M., qui ponctue chaque phrase d’une injure en espérant énerver la vilaine bébête. Décevant ! Je note au passage que les « pros » s’expriment courtoisement, tandis que les « antis » versent majoritairement dans l’insulte et le dénigrement (parfois du niveau cour d’école : « ils sont moches », « haineux », blabla). Beaucoup d’effet pour peu de lignes, quoi qu’l en soit...

Ne pas confondre République et Nation. Les « patriotes » tels que vous les définissez, les gens qui ont imposé l’idéal universaliste à coups de guillotine, se sont montrés les vrais précurseurs du fascisme, vous ne sauriez l’ignorer : pour les vendéens coupables de ne pas vouloir choisir entre Dieu et la République, Robespierre a inventé le principe (ce sont ses termes) de « dépopulation »... Des enfants ont été brûlés vifs dans des fours à pains, des nouveaux-nés jetés contre des murs jusqu’à ce que mort s’ensuive, des religieux femmes et hommes mis nus et attachés ensemble avant d’être jetés dans les rivières. Les fondements de la Nation étaient posés - heureusement - bien avant la République...

Des gens qui arrivent dans votre dos en courant et hurlant « bâtards, ici c’est FDG, tu oses coller Front national ? » ; des gens qui sortent du bar tenu par l’ex responsable « mythique » du service d’ordre de la CNT ; des gens dont j’ignore le nom, c’est vrai... Et qui ne figuraient pas parmi les portraits présentés par la police. Et, oui, j’ai été blessé, mais peu importe : en 5 années d’actions militantes au FN, je n’ai jamais vu un des nôtres s’en prendre physiquement à qui que ce soit. En face, c’est le contraire... La plupart du temps en toute impunité... Jusqu’à ce que l’un d’entre nous, père où mère de famille reste sur le carreau, peut-être ? Nous verrons. Mais nous ne quitterons pas le terrain.

Le premier de la classe a grandi dans une banlieue et un milieu ouvriers, a été apprenti dans un métier difficile, a repris des études, connu le chômage longue durée, la dalle et même la rue. De jobs dans le privé à la fonction publique aujourd’hui, il a eu tout loisir d’observer de l’intérieur tous les aspects du « modèle » français : c’est nourri de cette connaissance par l’expérience qu’il a fait le choix des idées souverainistes et patriotes. Je laisse aux beaux-parleurs le soin de disserter sur un peuple qu’ils ne connaissent qu’à travers les livres, les reportages télé et les souvenirs de grand-papa. Nous SOMMES le Peuple !