Revenu un beau jour complètement transformé des dunes du Sahara, François-Xavier décide de tout quitter et de changer de vie à 41 ans pour arpenter le monde, transmettre et témoigner. Devenu Marcheur-Photographe et accompagnateur par la Force des Choses, journaliste et conférencier engagé, poète et comédien, il parcourt depuis des milliers de kilomètres pour célébrer la Lumière, la Beauté des grands espaces et de ses peuples et nous faire partager sa passion de l’Aventure et du Dépassement de Soi, et sa vision de notre vie de tous les jours à travers l’image d’un Chemin. "Vivre et marcher, c’est la même chose", aime-t-il à rappeler, d’un sourire entendu. Avant d’ajouter : "Celui qui montre le Chemin doit d’abord le prendre. Et, qu’on le veuille ou non, nous ne pouvons qu’avancer : ça tombe bien, il n’y a pas de limite..." Des dunes du Sahara aux sommets de l’Himalaya, des rizières du Népal aux rives du fleuve Niger, des temples shintoïstes du Japon aux montagnes de Roumanie, il continue, inlassablement, d’explorer de Nouveaux Chemins et d’ouvrir la Route...
Big Brother est un exemple éclatant d’un mécanisme triangulaire vieux comme le monde dans lequel nous nous trouvons tous, mécanisme de « mafia » généralisée à tous les pays et à tous les domaines :
- 1 : je te fais peur (facile...),
- 2 : je te protège (le 1 et le 2 sont une seule et même personne ou groupe de personnes : quand on comprend déjà ça, ça donne le vertige),
- 3 : mais la protection a un prix, il faut que tu (me) paies.
Et le pire prix que nous payons de plus en plus, c’est celui de la réduction (grandissante) de notre liberté individuelle et collective.
Il manque le n° 4 , qui est, justement, pour ne pas se limiter à cette simple étape du constat, mais pour passer à l’action :
A nous de reprendre les rennes de nos vies.
A nous de nous libérer de la peur et de nous éveiller.
« Le Monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient vraiment ».
Le Bouddha.
C’est drôle, d’ailleurs : tout le monde a le droit de nous filmer, la plupart du temps à notre insu, mais, nous, les photographes, quand on prend des photos de ces caméras qui nous filment, on se fait repérer et engueuler, parce que « c’est interdit »( !)
Alors, pendant qu’on a encore un peu de Liberté, je me dépêche : comme Big Brother nous regarde, alors, moi, j’ai photographié Big Brother (désolé...).
Big Brother est un exemple éclatant d’un mécanisme triangulaire vieux comme le monde dans lequel nous nous trouvons tous, mécanisme de « mafia » généralisée à tous les pays et à tous les domaines :
- 1 : je te fais peur (facile...),
- 2 : je te protège (le 1 et le 2 sont une seule et même personne ou groupe de personnes : quand on comprend déjà ça, ça donne le vertige),
- 3 : mais la protection a un prix, il faut que tu (me) paies.
Et le pire prix que nous payons de plus en plus, c’est celui de la réduction (grandissante) de notre liberté individuelle et collective.
Il manque le n° 4 , qui est, justement, pour ne pas se limiter à cette simple étape du constat, mais pour passer à l’action :
A nous de reprendre les rennes de nos vies.
A nous de nous libérer de la peur et de nous éveiller.
« Le Monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient vraiment ». Le Bouddha.
C’est drôle, d’ailleurs : tout le monde a le droit de nous filmer, la plupart du temps à notre insu, mais, nous, les photographes, quand on prend des photos de ces caméras qui nous filment, on se fait repérer et engueuler, parce que « c’est interdit » (!)
Alors, pendant qu’on a encore un peu de Liberté, je me dépêche : comme Big Brother nous regarde, alors, moi, j’ai photographié Big Brother (désolé...).
Des décors et rien que des costumes, ça suffit pas à faire un film, même (et surtout) fait par la Coppola...
Pas étonnant qu’on lui ai coupé la tête, à la Marie-Antoinette : pendant que le peuple crève de faim, elle, elle se prélasse, lasse...
Elle se prélasse, s’ennuie et nous encore plus...
Remarque, à l’époque, au moins, c’étaient pas des tièdes et des Mickeys : quand le peuple en avait trop marre de tout, il se soulevait...
Quand le peuple était vraiment trop excédé par la corruption des dirigeants, par l’arrogance des bourgeois, par l’indifférence et l’incompétence de ses gouvernants, ils leur coupaient la tête : ça, c’est fort...
Mais, hélas, trois fois et lasse, c’est même pas la morale du film « Marie Antoinette »...
(et aujourdhui, c’est nous, le peuple, à qui on essaie de couper la tête pour ne plus réfléchir par nous-même, sic...)
Et aujourd’hui, nous tous, pauvres endormis que nous sommes, que faisons-nous, à part rien ?
D’ailleurs, le seul intérêt de « Lost in Translation », c’était...la poitrine opulente de Scarlett Johanson...
Le seul intérêt de « Marie Antoinette », c’est ...qu’il n’a aucun intérêt...
Faut-il couper la tête de ceux (celles) qui perdent autant de temps à écrire un article aussi long sur un film sans aucun intérêt ?
PS : quand aux américains, la seule chose qu’ils ont su faire récemment, c’est, justement, faute de Racines, de se couper eux-même leur propres têtes du World Trade Center, pour y trouver un prétexte de plus pour creuser encore et encore à la recherche des quelques gouttes de pétrole qui restent en Irak, en Iran et ailleurs...
La morale du « Petit Prince » de Saint-Ex n’est-elle pas d’ailleurs :
« On n’est heureux que si on a des racines » ?
« Marie-Antoinette »’ avait-elle des Racines : un nouveau sujet d’article ?