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Fred

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Derniers commentaires



  • Fred 9 mai 2007 11:02

    Avons nous le droit de nous pencher sur les chiffres du suffrage universel et constater que Monsieur Sarkosy a été élu par les + de 60 ans . Un président élu par les inactifs ! Hum hum



  • Fred 3 mai 2007 16:24

    Ah, ces experts, qu’est ce qu’ils sont bons



  • Fred 3 mai 2007 11:47

    Pour information : Le trio pétrole-gaz-charbon représente 72 % de la consommation énergétique française, l’atome parvenant péniblement à 17 %. Attention, les tenants du nucléaire prétendent qu’il couvre 50 % de notre énergie, nous apportant une importante indépendance énergétique. C’est que, pour tromper l’opinion, ils comptabilisent l’énergie dite « primaire », c’est-à-dire celle qui sort de diverses façons d’une centrale nucléaire : or celle-ci perd les trois quarts de son énergie par évaporation (les panaches de vapeur d’eau qui s’échappent des tours de refroidissement) et par les rejets massifs d’eau chaude dans les rivières (au prix de dégâts environnementaux, mais c’est encore une autre affaire). Une fois défalquée cette énergie perdue dans la nature, la place du nucléaire apparaît clairement : on retombe sur les 17 % évoqués ci-dessus. Une part bien faible, qu’il est d’ailleurs vain d’espérer augmenter : le 10 juillet 2006, le ministre de l’Industrie François Loos a reconnu que la part du nucléaire dans l’électricité française tomberait de 80 % actuellement à 73 % en 2015 (soit environ 15 % de l’énergie consommée). Et à l’échelle mondiale, la place du nucléaire, déjà marginale (6 % de l’énergie consommée), tombera en dessous des 5 % vers 2030 (chiffres officiels de l’Agence internationale de l’énergie). Donc, contrairement à ce qu’on peut lire ici ou là, on n’assiste absolument pas au « grand retour du nucléaire ». Les constructions de centrales qui auront (hélas) lieu serviront juste à freiner le déclin annoncé.

    L. : Ce n’est donc pas avec une énergie nucléaire marginale et déclinante que l’on sauvera la planète ! Par contre, comme l’a montré Tchernobyl, un seul réacteur suffit à contaminer un continent entier. S.L. : Il n’existe donc qu’une bonne décision à prendre : sortir du nucléaire, et le plus vite possible. Cela permettra alors de se pencher pour de bon sur les graves problèmes comme le réchauffement climatique et de prendre enfin les décisions qui s’imposent : en particulier, une importante réduction de la consommation énergétique des pays riches. Utopique ? Non : c’est même la seule solution réaliste pour sauver la planète...


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