Au sujet de la violence féminine : durant toute leur vie commune, environ 40 ans, ma mère a harcelé mon père, par des insultes incessantes, souvent au-dessous de la ceinture. Elle a fini par le tuer. 6 ans après, elle vit toujours. Ma belle-mère aussi a harcelé son mari - et toute sa famille, d’ailleurs. Sa vie durant, mon beau-père a patiemment rentré la tête dans les épaules. Heureusement pour lui, le tabac a eu raison de son épouse. J’oubliais : ma mère, tout comme ma belle-mère étaient féministes. Toute mon enfance, j’ai subi la propagande misandre, prétendant que seule l’élimination des mâles (ces erreurs de la nature !) résoudrait les problèmes, que mon père était un fainéant (qui se levait à six heures pour aller bosser) alors qu’elle était une pauvre victime (qui restait au lit jusqu’à 9 heures). Imaginez, au vu de la situation actuelle, quel peut être mon sentiment...
L’explication me semble hélas très simple : nous vivons dans une société archi-féminisée où le vieux rêve féministe radical est en train de prendre corps : survalorisation des femmes et du féminin, destruction systématique de tout ce qui est masculin, y compris de l’immense apport masculin en matière artistique, philosophique, scientifique... Le but est d’éliminer ce masculin tant haï (y compris par des hommes, voir plus haut la réaction « les femmes sont moins connes »... Ah bon, pourtant, quant on voit le niveau de la presse féminine, c’est loin d’être flagrant !). Du coup, les hommes baissent les bras et ne recherchent plus cette réussite qui était sensée leur apporter... la femme, récompense suprême ! Quand la femme recherchait l’argent de l’homme, la réussite de ce dernier était importante. Maintenant que la femme gagne son propre argent (pour elle, pas de blague) que lui importe la réussite du mâle... Du coup, les hommes se saoûlent (+ de 90 % des alcooliques !), se suicident (4 suicides sur 5), perdent pied (92% des SDF sont des hommes !), et subissent chaque jour la propagande misandre institutionnelle qui leur impose de gober qu’ils sont des monstres de violence et les femmes das anges de douceur !