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Frédéric Vivas

Frédéric Vivas

Frédéric Vivas, ethnologue, psychologue. Il enseigne les Sciences Humaines et Sociales aux travailleurs sociaux (travail en équipe, sociologie des organisations). Il est aussi l’heureux titulaire d’un CAP, BEP et BTH de cuisinier et anime des ateliers cuisine et participe à des conférences sur ce thème. Il est également responsable de publication de la revue Artefacte (Artefacte-asso.com).
 
LIVRES
  • Marine Le Pen Amène Le Pire, préface de Paul Ariès, (avec VIVAS M.), Villeurbanne, Golias, 2014.
  • Journal d’une lycéenne sous l’Occupation, Toulouse 1943-1945, (avec DUPUY A., CROUZET.T.), Toulouse, Le Pas d’Oiseau, 2013. Prix Joseph-Laurent Olive du 19e salon du livre d’histoire locale de Mirepoix 2013.
  • Du fait de cuisine, (avec BOUAS F.), Arles, Actes Sud, 2008. 

 
ARTICLES
Travail en bouche
  •  « Mozart à la sauce tomate », Revue Artefacte, n°4, avril 2013.
  •  « Faire ripaille à Ripaille, (avec Florence Bouas), Revue l’Alpe, n° 48, 2010.
  • « Les maître queux catalans étaient-ils des barbares ? », in Joan Peytaví Deixona (sous la dir. de), Pau, Treva i Mil.lenari, La Catalogne du Xe au XXe siècle, Recueil de conférences, Canet, éditions le Trabucaire, 2010.
  •  « Las prácticas alimenticias y la imagen del cocinero en la Edad Media », Collectif, Alimentación y Cultura, Actes du congrès international d’anthropologie 1998, Espagne, Huesca, La Val de Onsera, 1999. 
  • “Etude sur les représentations et le comportement d’adolescents dans un Lycée Professionnel de Midi-Pyrénées”, in Collectif, Le tourisme dans les parcs naturels, Toulouse, Revue E.R.T.S.E.C., Université Toulouse II le Mirail, n° 4, 1996.

 
La littérature au travail
  • « Je suis un voyageur de l’écriture », Revue Artefacte, n°4, mars 2013. 
  •  « La présidentielle au risque des jeux littéraires », Revue Artefacte, n°3, avril 2012. 
  • « Interview de Roger MARTIN, écrivain, scénariste », Revue Artefacte, n°3, avril 2012. 
  • « Une lecture de Roger Vailland », Revue Artefacte, n°2, décembre 2011. 
  •  De quoi le formateur-vacataire est-il le nom ?  », Toulouse, Revue Artefacte, n°2, décembre 2011. 
  • « Une usine sans patron ?, une expérience d’autogestion ouvrière », Toulouse, Revue Artefacte, n°1, mars 2011. 
  • « Gourmandises littéraires, acte I, lettre d’un cuisinier à propos de François Rabelais », Revue Artefacte, n°1, 2010.

 
Le travail de la citoyenneté
  •  « Le FN et la gestion des municipalités », Golias Hebdo n° 328, 20-26 mars 2014.
  •  « Faut-il lire Karl MARX aujourd’hui ? », Revue Artefacte, n°3, avril 2012. 
  •  « Monochromes approximatifs, les mots de la modernité au travail », Toulouse, Revue Artefacte, n°1, mars 2011.
  •  « De l’instrumentalisation des psychologues », Toulouse, Revue Artefacte, n°1, mars 2011.

 

Tableau de bord

  • Premier article le 28/06/2014
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Derniers commentaires



  • Frédéric Vivas Frédéric Vivas 4 juillet 2014 09:27

    Votre citation exacte est celle-ci (merci de ne pas oublier d’intégrer la fin de votre message pour ne pas, une fois encore tromper le lecteur) :


    « Oui, imposer l’intelligence dans nos combats contre l’extrême-droite ! c’est possible encore aujourd’hui mais ne sera plus réaliste du tout dès que ceux-là se sentiront tout permis ! et puis il y a des tas de gens qui se contentent de propositions binaires sans grand support théorique !
    Je parie qu’aucun de ces textes touchera un hésitant ; au mieux il donne des armes théoriques, historiques aux combattants ! L’écrit ni la réflexion ne sont les armes de l’extrême-droite !! »

    Notez le pluriel : « ces textes » et non « ce texte »...


  • Frédéric Vivas Frédéric Vivas 30 juin 2014 21:47

    A travers vous, merci aux lecteurs critiques, et à ceux qui résistent à la propagande FN... 



  • Frédéric Vivas Frédéric Vivas 30 juin 2014 21:23

    Sur ce site, les critiques du FN n’ont pas bonne presse. Je passe sur les attaques personnelles qui expliquent ma prise de distance (« pitoyable », « conneries », « article débile », « t’as payé cher tes diplômes », « crétin », « zombie moi-je », « cancer », « zigoto formaté », « je vous dis Zut pour pas dire merde », t’as « chié dans la soupe », tu « ne se prends pas pour de la merde ». Au final, ces distingués zélateurs me reprochent mon manque de « finesse », d’être « injurieux » et s’étonnent de ne pas me voir réagir à leurs « commentaires »…

     

    Au 30 juin 2014, Sylvain Rakotoarison emportait 67 % de désaccord pour son article «  Jean-Marie Le Pen : des flagrants délires à la fournée ». Olivier Cabanel, «  Dérapages en mairie FN », obtient 61 % de désaccord… Son article « Marine en eau trouble » bénéficie de 60 % de contre (il montre les actuelles accointances du FN avec les cranes-rasés-croix-gammées-bras-levés)…

     

    A contrario, Jehan De Beauce, pour son article en faveur d’un « fascisme humanitaire » (sic), recueille 52 % d’opinion favorable…

     

    Bref, dans les jours qui suivent une publication, les contributions critiques sur le FN attirent les trolls qui saturent les pages commentaires. Sur la durée, le nombre de clics liés aux désaccords tend à diminuer, mais la technique de manipulation est bien réelle et impressionne… On pourrait avoir la sensation que les « agoravoxiens » dans leurs ensembles sont défavorables à ce type d’article… Les trolls ont trollisé la toile.

     

    Qu’est-ce qu’un troll amateur (FN, pro-FN, futur-FN, libertaire d’extrême-droite, couci-couça prétendument de gauche) ? On le repère à cet indicateur : le nombre d’articles publiés (zéro), auquel s’ajoute le nombre de commentaires publiés (de 500 à 5000 pour les plus opiniâtres) ….Le troll professionnel est un diffuseur d’extrémisme, un confusionniste qui fait le lit de l’extrême-droite (certains s’affichant même de gauche).

     

    Sur internet, les trolls camouflent le lieu de production de leurs discours, leur métier, leur diplôme, leurs tendances et adhésions politiques, le tout derrière le voile de leur pseudonyme, bien planqués derrière leur icône… C’est derrière « ce courage » qu’ils trouvent la force d’insulter leurs contradicteurs.

     

    Les trolls qui s’expriment (à ne pas confondre avec les lecteurs) ont parfois une opinion déjà faite sur un livre qu’ils déconseillent aux autres, dont ils ont fait près de 500 commentaires mais qu’ils n’ont pas pris le temps de lire (ce dont ils conviennent d’ailleurs)

     

    Derrière les insultes, on cherche les commentaires relatifs au livre Marine Le Pen amène le Pire, (éd. Golias). Les avez-vous trouvés ?

LES THEMES DE L'AUTEUR

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