fredleborgne

Pour se gorger, ceux qui sont censés veiller sur nous sont prêts à nous faire supporter une vie de misère et à nous faire mourir plus tôt. Un malade de lyme n’a pas la force de se révolter, restera pauvre, voire perdra son emploi pour son manque de productivité, voire de sérieux quand on lui reprochera ses « absences ». Mais on s’en fout, il n’y a pas assez de travail pour tout le monde de toute façon, et les dettes de l’état sont une bonne affaire pour les financiers.
L’oligarchie bénéficie du mouvement brownien de la population sans aucun égard pour les individus. Elle est composée de vautours exploiteurs. La Révolte est la première condition sine qua non pour soigner la société, avant de sauver les individus.

Il existe sur Internet une littérature dite « Libre », qui protège les droits de l’auteur (à être au moins lu) et ceux du lecteur (à pouvoir lire sans tenir compte de ses moyens financiers).
Le meilleur en qualité selon moi est Atramenta ;
La lecture en ligne y est libre, agréable et sans publicité autre qu’un peu de mise en avant d’auteurs plébiscités par les lecteurs, et encore, non intrusive.
Les auteurs peuvent offrir leur texte en epub, pdf et même en format odt (open-office) pour ceux qui voudraient l’éditer papier sous leur propre format sur les photocopieuses de leur entreprise ( ;o) ).
Le webmaster propose aussi au auteurs de passer au stade de l’édition à la demande (pas de pilon) et de la distribution ebook sur Amazon, mais pas uniquement, avec les mêmes avantages qu’amazon, avec une aide certaine sur la mise en page et la typographie. Des échanges entre auteurs permettent à ceux-ci d’être confrontés à des commentaires et critiques exempte d’une compétition imbécile, même si un peu de bienveillance ternit l’irréprochabilité d’une critique qui devrait être objective.
Beaucoup de livres sont téléchargeables gratuitement, et de vraies perles sont à découvrir, les auteurs non professionnels n’étant pas soumis à l’obligation « alimentaires » des blockbusters« formatés qui aujourd’hui arnaquent la littérature au bénéfice du profit, condamnant des oeuvres proposées par de petits éditeurs à l’oubli.
1000 livres. Ce n’est rien ! Aucun impact, un »salaire" minable pour les auteurs. 10000 lecteurs réels, (le webmaster filtre les robots), X téléchargements, c’est au mois la satisfaction d’avoir écrit et d’avoir été lu. C’est exister en tant qu’auteur.
http://www.atramenta.net

Charlie ? Pas Charlie ? Quel jeu pratiquait Charlie en caricaturant le prophète ? Caricaturer les terroristes eux-mêmes n’était pas suffisant pour dénoncer l’intégrisme ?
Pour qui Cazeneuve roule t-il ? Les outils de contrôle d’internet, comme des informations personnelles présentes sur nos disques durs sont dénoncés à chaque « découverte ». Ce que voudraient certains, c’est qu’ils soient légaux et systématique au nom d’une surveillance sécuritaire. Ainsi Lambda, même non suspect, pour la sécurité de tous, doit se soumettre au passage caudin du détecteur épluchant son disque et au port collant du mouchard aux basques de sa navigation.
Les betas données obtenues pourront alors être vendues aux entreprises, comme le sont déjà certains fichiers de l’état (Celui des cartes grises entre autres).
Non, nous ne sommes ni dans une démocratie, ni dans un état de droit, entre corruption, traitrise et carcans législatifs qui nous livrent pieds et poings liés à l’exploitation par l’oligarchie internationale vampire. Nos dirigeants ne sont que les larbins incompétents de ceux qui ont financé leurs campagnes. Seule la révolte et l’affirmation du peuple à ne plus s’en laisser compter peut nous libérer. Mais la liberté fait peur. Qui nous protègera mieux que nos geoliers ?

Plus y’a de pauvres, plus les riches peuvent être riches. Alors, tant qu’on a pas 80% de pauvres, on ne peux pas dire que l’économie marche bien.
Et si le chiffre fait peur, baissons le salaire médian, surtout en excluant les dix pour cent les plus élevés. Car ceux-ci ne sont pas significatifs dans l’économie quotidienne, et cependant faussent la mesure.

Mon pauvre senior, quelqu’un qui a le choix entre crever et travailler au noir n’hésitera pas une seconde. Dans la débrouille, un nouvel ordre se met en place depuis quelques temps déjà...et il n’y a plus de contrroleurs, à condition de dépenser toute sa maigre retraite, bien sûr