Bonté divine, « roi » est plus approprié car on fait référence à nos chers monarques et à leur cour de privilégiés et à leur train de vie fastueux. Et puis ça brille de mille feux un roi
Bac tout court, pas Bac+2 (ça, on verra dans quelques années).
Non mais oui, mais non, vous avez entièrement raison, même le Président le dit lui-même : « Désormais ce qui compte en
France pour réussir ce n’est plus d’être « bien né », c’est d’avoir
travaillé dur et d’avoir fait la preuve par ses études de sa valeur »
Très franchement, vous confieriez un poste tel que Président de l’ÉPAD à un jeune bachelier ??? Soyons réalistes, ayons un peu de bon sens. 80% des chefs d’entreprise sont autodidactes, vous pourriez citer la source de ce pourcentage ? Il serait très intéressant de savoir quand même (non pas pas que l’on ne vous croit pas sur parole). Dans tous les cas, le problème soulevé ici n’est pas tant le manque de diplômes de ce pauvre étudiant (ce n’est qu’une circonstance aggravante de plus), mais plutôt la façon d’accéder à un poste (élection ou pas, car ce n’est pas une élection populaire dont il s’agit) et la grosse différence entre ce qui est dit et ce qui est fait.
Finalement « Eurosocialiste », pas besoin d’avoir fait des études pour comprendre, mais ça m’a tout l’air d’être un nom comme un autre qui vous donne des indices quant à ses opinions politiques (Europe + socialisme = Eurosocialiste).
Son Altesse sérénissime le roi Sarkozy 1er Son Alter Ego le prince Petit Jean Et la cour mafieuse du comté des Hauts-de-Seine Tiennent à ce que vous, petit peuple d’en-bas, sachiez Que oui, ils se foutent Royalement de vos gueules.
Et de toute façon, les voies du Seigneur sont impénétrables (- sauf pour tous ceux qui font partie de la Seigneurie Sarkozy)...
Vous commencez votre commentaire en admettant qu’il y a effectivement un problème de déséquilibre des sexes au pouvoir. Puis votre argumentation soulève un problème plus profond : le peuple a tendance à élire un homme à la tête de son pays. Pourquoi ? Tout simplement parce que les femmes sont encore considérées comme une minorité, et bien souvent malheureusement, les compétences d’une femme sont remises en question seulement parce que c’est une femme. En Europe, comme dans la majorité des pays dans le monde, la place de la femme est à la maison, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. C’est bien pour cela qu’en bas, on élit un homme en haut. Mais on ne le dit pas tout haut...
La parité est une idée, mais cela a prouvé que ce n’était pas la solution pour que les femmes, toutes classes sociales confondues, soient présentes à la tête des gouvernements. Il faut maintenant travailler sur d’autres moyens pour que les femmes aient enfin une place reconnue dans la société. L’éducation peut être une solution : apprendre aux hommes et aux femmes que chacun peut accéder à une fonction peu importe le sexe. Les inégalités au pouvoir sont la représentation des inégalités dans une société. Vous dites que vous, ça ne vous dérange pas de voir une ou plusieurs femmes à la tête de l’U.E. Je ne pense que ça soit le cas de la majorité des gens, qui pour rester politiquement correct -comme on le dit si bien- vont être d’accord sur le principe, mais pas dans le fond. La réalité est tout autre...
Vous finissez votre article en ridiculisant le système de parité (et en passant l’article d’eurosocialiste), en mettant les transsexuels et les femmes dans le même panier (les femmes sont un tout petit peu plus nombreuses). Vous démontrez bien par ce propos qu’une fois de plus, les hommes -car j’imagine bien que vous êtes de sexe masculin et que le fait d’être une femme dans une société vous est totalement inconnu- considèrent les femmes comme une minorité. De plus pour que la parité soit bien respectée, il faut un chiffre pair, pas impair. Pourquoi ne pas avoir 2 ou 4 personnes têtes de l’UE ?
Mais comment en vouloir aux hommes de penser ainsi, étant donné que depuis le début de l’humanité, les hommes sont le sexe fort et les femmes ne sont que le sexe faible. Ce n’est pas quelques décennies de lutte pour le droit des femmes qui vont faire le poids contre des millénaires de suprématie masculine. Mais s’il y a eu des changements radicaux pendant ces décennies, il y a encore beaucoup de progrès à faire et de bonnes paroles à mettre en application.