Booba , c’est le repoussoir parfait ,le meilleur en France dans son domaine et en même temps parfaitement odieux aux oreilles de beaucoup de gens qui prennent la culture populaire un tant soit peu au sérieux(les valeurs , le fond) , et pourtant c’en est de la culture populaire , vraiment populaire pour le coup ; c’est peut-être malheureux le sordide de bien des titres mais ça sort pas de nulle part , pour comprendre ça ,il suffit de comparer aux blues du 20ème siècle , c’est pas folichon non plus question contexte , et pas souvent très créatif musicalement ,populaire en somme , et efficace en son temps , comme booba aujourd’hui et ses histoires de sommet à conserver dont beaucoup n’entendent que les bribes de vulgarité assumées et sincères .
Merci à toi , 2 très bons sons et peut-être l’occasion de comprendre l’essence du rap , qui n’est pas une tradition française ,mais qui le deviendra peut-être vu sa vitalité et son public de masse ,populaire.
Il a bien fait de passer l’ami manager , le v’la habillé pour la rentrée ,en même temps il devait s’en douter un peu vu l’ambiance içi. Pour ma part , le grand scandale du travail ,c’est qu’on le fasse pour de l’argent , quelle misère que la paie , du temps vendu comme s’il n’était pas compté. Il serait temps que les salariés réalisent que leur vie (existence)est la seule chose qu’il possède vraiment , qu’elle est courte et déclinante , ni reproductible ni échangeable ,et qu’en bons « capitalistes » qu’ils sont (mais si, mais si), ils ont la responsabilité de ce qu’ils en font. Aucun patron , aucun manager ,aucun leader politique ,aucun gourou sur lequel se défausser de n’avoir été qu’une machine au service de l’économie , les travailleurs de ce pays ont les moyens intellectuels et spirituels de se dégager de la servitude , les moyens de se donner un pacte social qui donnerait un mérite à la vie , et non pas un prix en heures de boulot. Tout ça est bien loin de nos préoccupations actuelles de déchéance annoncée , comme une fantaisie dans l’austère calcul de compétitivité effectué par notre ami manager , puisse la légèreté de sa condition lui faire entrevoir le ridicule de son être.
Il ne faut jamais faire pour de l’argent ce qu’on ne ferait pas gratuitement. Luis Bunuel
Article savoureux sur les méthodes normales de gestion en France , on peut encore boire de l’eau potable chez soi à pas trop cher, tout va bien . Les commentaires ,c’est fabuleux , Mélenchon über alles et dieu pour tous (oui ,oui les mélenchonistes , pour tous) , la démocratie de mes rêves qui se répand et une opposition sous-traitante de la majorité ,très fort le plan FdG ; si on ne jure que par le professionnalisme , alors il n’y a rien à craindre , on est entre de bonnes mains bien pleines et pas bégueules , le manu ...
Vous n’avez rien d’un fasciste apparemment ,mais vous prenez peut-être vos rêves (de re-fondation) pour une réalité ; vous vous laissez aller à la totalité : « Et ce silence, dont nos gouvernants sont complices puisqu’ils travaillent EXCLUSIVEMENT pour le compte de la finance. » , ce qui n’existe pas , ou pas longtemps et la S.F. ,même de qualité ,ne peut seule (sans compter les intuitions et la C.I.A...) étayer une hypothèse.
J’ai trouvé votre article intéressant ,alors je vous renvoie au solo du robot à la toute fin de fondation ,et en particulier à « sa » vision des générations.
Les pauvres n’ont que ce qu’ils n’héritent pas. Beaucoup de « bons français » se plaignent de l’immigration , mais le bureau est propre quand matin , ils avalent leur deuxième dose à la machine . Qu’ils se torchent avec leur déclaration d’impôts et peut-être leur concèdera-t-on autre chose que le droit de se plaindre par Le pêne interposé.
Un pêne est une pièce de fer, que la clef fait aller et venir, et dont l’extrémité est engagée dans la gâche quand la porte est fermée
C’est un des éléments constitutifs d’une serrure ou d’un verrou.