l’installation des caméras n’est qu’une étape. L’étape d’après est d’affiner les algorithmes de traitement et d’analyse d’images pour d’une part, la reconnaissance faciale et d’autre part la reconnaissance de comportements déviants (attroupement, port de casquette ou cagoule, rixe... etc). La reconnaissance faciale fait déjà l’objet de dépots de brevets, encore 5 à 10 ans et les ingénieurs auront trouvé les algorithmes de traitement du comportement.
L’objectif est un cadrillage de certaines zones à protéger. Exemple : centre parisien et certains quartiers de la capitale, villes de la banlieue parisienne du Neuf Deux entre autre... Le tout afin de contenir la délinquance en périphérie, autrement dit toutes les cités du nord parisien qui sont dors et déjà des zones de non droits.
Arditi n’a fait qu’exposer un avis, son avis, et personne ne peut lui reprocher d’aimer le contact du papier, au contact plus froid et peut être plus aride du Net. Non, pour moi c’est le principe même de cette émission, de FOG le brumeux, qui est à remettre en cause. Car finalement le fond du débat était bien de faire entrer dans la tête de la populace que le Net c’est le mal, le diable, un endroit de remugles et de puanteur. Il suffit d’écouter tous ces donneurs de leçons que sont les Joffrin, Val (tiens ce con n’était pas présent chez FOG) et cie... tous ces éditocrates (voir à ce titre l’excellent article d’Olivier Bailly sur « Les éditocrates : les éditorialistes qui font la pensée unique » http://www.agoravox.fr/rdv-de-l-agora/article/les-editocrates-les-editorialistes-67185) pour se dire que l’on prépare la populace doucement mais surement à une mise d’Internet en coupe réglée.
En fait de conclusion, il me semble plus exact de dire que le Net sera tôt ou tard normalisé (d’ailleurs ce terme est utilisé par un des participants de cette caricature d’émission culturelle) comme à la bonne époque du sovietisme où l’on normalisait les pays satellites trop remuants.
inutile de faire subir à notre petit bourge donneur de leçon quelques années en HLM... non inutile !!!
Inutile car, je sais déjà que notre petit bourge n’aura jamais les balls, les corones de se rentrer en solo dans n’importe quelle banlieue chaude de Paris ou d’ailleurs genre la Courneuve... Enfin, si d’aventure notre donneur de leçons s’y rend alors je lui souhaite bon courage !
en complément a votre article, il semble qu’un scandale soit en train de naitre autour du professeur Albert Osterhaus dit Dr Flu (Dr Grippe) :
Sur lePost.fr...
« Énorme scandale de subornation à l’OMS Par PetrusLombard
F. William Engdahl, 9 décembre 2009
L’homme surnommé « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus, de l’Université Erasmus à Rotterdam en Hollande, a été désigné par les chercheurs des médias néerlandais comme la personne au cœur de l’hystérie mondiale sur la pandémie de grippe porcine en 2009. Non seulement Osterhaus est lié à un réseau international décrit comme une mafia pharmaceutique, mais il est aussi le principal conseiller de l’OMS sur la grippe. Il est en plus bien placé pour profiter personnellement des milliards d’euros des vaccins soi-disant contre le H1N1.
Albert Osterhaus de Hollande, le « Monsieur Grippe » de L’OMS, a des liens profonds avec Big Pharma
Plus tôt cette année, la deuxième chambre du Parlement néerlandais a entrepris d’enquêter sur des allégations de conflits d’intérêts et de malversations financières du bien connu Dr Osterhaus. En dehors de la Hollande et des médias néerlandais, la seule information sur cette enquête sensationnelle dans les affaires d’Osterhaus, a fait son trou dans une note minuscule du magazine britannique réputé, Science.
Les références d’Osterhaus et ses connaissances dans son domaine ne sont pas en cause. Ce qui est en cause, selon le bref rapport publié par la revue Science, ce sont ses liens avec les intérêts corporatifs qui se trouvent être potentiellement bénéficiaires de la pandémie de grippe porcine. Science a transmis la brève note suivante à propos d’Osterhaus, dans son numéro du 16 octobre 2009 :
« Pendant les 6 derniers mois, on ne pouvait guère allumer la télévision aux Pays-Bas, sans voir le visage d’Albert Osterhaus, le fameux chasseur de virus, parler de la pandémie de grippe porcine. Ou du moins, c’est ce qui a semblé. Osterhaus, qui dirige un laboratoire de virologie de renommée internationale, Erasmus Medical Center, était Monsieur Grippe. Mais la semaine dernière, sa réputation a fait un plongeon après qu’il fut allégué qu’il alimentait la trouille de la pandémie pour promouvoir ses propres intérêts industriels dans le development de vaccins. Au moment où Science mettait sous presse, la Chambre des députés néerlandaise avait même prévu un débat d’urgence sur la question. »
Le 3 novembre 2009, il est apparu qu’Osterhaus s’en est sorti avec au moins des torts quelque peu sous contrôle. Un blog scientifique mis à jour constatait : « La Chambre des députés des Pays-Bas a rejeté aujourd’hui une motion demandant au gouvernement de rompre tout lien avec le virologiste Albert Osterhaus du Erasmus Medical Center à Rotterdam, qui avait été accusé de conflits d’intérêt dans son rôle de conseiller du gouvernement. Mais, dans l’intervalle, le ministre néerlandais de la Santé, Ab Klink, a annoncé un »Sunshine Act« obligeant les scientifiques à dévoiler leurs liens financiers avec les entreprises. »
Le ministre Ab Klink, qui serait un ami personnel d’Osterhaus, a par la suite publié un communiqué sur le site Internet du ministère, déclarant qu’Osterhaus n’était qu’un des nombreux conseillers scientifiques du ministère sur les vaccins contre le H1N1, et que le ministère « savait » au sujet des intérêts financiers d’Osterhaus. Rien ne sortait de l’ordinaire, semblait-il, simplement de l’engagement dans la science et la santé publique.
Une enquête plus approfondie sur l’affaire Osterhaus suggère que le virologiste néerlandais de renommée mondiale pût être au centre même d’une pandémique de supercherie de plusieurs milliards d’euros, qui a en réalité utilisé les êtres humains comme des cobayes, avec des vaccins non testés et qui, dans des cas en train d’émerger à présent, entraînent la mort, la paralysie ou des lésions physiques graves. »