Nous sommes passés d’un soviétisme rouge à un soviétisme vert le tout sur fond de fraude scientifique avérée.
Celà dit, autant il y a une vraie question scientifique à propos du climat (comment a-t-il évolué ? comment évolue-t-il ?) autant il y a des d’autres questions environnementales (car les rejets des véhicules comme des centrales au charbon ne sont pas seulement du CO2) et d’autres questions de gestion de ressources en hydrocarbures. Et sur ce dernier point, il y a un véritable défi qui se pose dès maintenant et sur lequel il est impératif d’apporter des réponses.
En complément, à lire cet article du Monde Diplo sur la désinformation de masse utilisée par les dirigeants et les médias occidentaux afin de justifier d’une intervention en Serbie. http://www.monde-diplomatique.fr/2000/03/HALIMI/13425
Premières lignes :
« Médias et désinformation
Le Kosovo a été victime, pendant plus de dix ans, d’une politique d’apartheid menée par Belgrade. La répression contre l’Armée de libération (UCK) y avait pris, en 1998, un tour massif et sanglant. S’agissait-il pour autant, comme le flot des réfugiés semblait l’accréditer, d’un génocide que seule l’intervention occidentale pouvait stopper ? Un an après, cette justification de la guerre menée par l’OTAN a perdu beaucoup de sa crédibilité - et avec elle la couverture médiatique soi-disant « exemplaire » de l’opération. Les enquêtes menées sur place par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et les organismes européens comme internationaux, mais aussi par quelques journalistes, modifient radicalement la lecture des événements. Sans même parler de cette « contre-épuration ethnique » qui vise à présent Serbes et Tziganes du Kosovo. »
Au delà de la fraude absolument énorme et le peu de retentissement dans les médias français de cette affaire, les autres constats sont : - D’une part la dérive dogmatique du monde scientifique. - Et d’autre part une certaine collusion (malsaine) entre intérêts financiers, politiques et décideurs économiques.