@ l’auteur Excellent article qui a le mérite d’apporter une vision originale du problème. J’adhère au diagnostic concernant les hauts fonctionnaires. Par contre, je suis en désaccord avec certaines de vos conclusions comme cette éloge du privé que vous faites. Croyez-vous vraiment que les personnes du public sont fondamentalement différentes du privé ? Les gens se comportent conformément aux règles qu’on leur applique. Rien n’empêche d’appliquer dans le public des méthodes de management performantes ou de viser l’excellence. Certaines administrations ont fait d’énormes progrès en termes d’efficacité, de qualité et « productivité » ces dernières années ; ce n’est pas l’apanage du privé. Il faudrait effectivement « ouvrir » les enseignants par beaucoup plus de formation sur les méthodes de recherche de l’excellence comme par exemple la mise en oeuvre de systèmes qualité dans les établissements avec certification ISO. Je voudrais dire aux enseignants que je sais que les élèves ne sont pas des « produits industriels » mais je vous assure que ces méthodes pratiquées dans les entreprises sont transposables à l’éducation, sans dénaturer les missions premières d’éducation des élèves. Je regrette par contre que l’auteur veuille opposer public/privé comme si le statut était la cause des problèmes.
Fergus, c’est moi qui vous remercie pour votre article.
Le pet est un excellent vecteur de convivialité (masculine essentiellement...) puisqu’il fait rire et suscite une empathie spontanée (100 réactions à votre article !!!)
Personnellement, je pense qu’une prof pétomane ne peut pas être foncièrement nulle.
Etonnant article...dans un style truculent, on n’est pas loin de « la soupe aux choux ». Ca me rappelle une blague : 3 mecs sur un banc... Le premier dit : « moi, quand je pète, ça fait du bruit mais ça pue pas... » Le deuxième lui répond : « moi, quand je pète, ça fait pas de bruit mais ça pue... » Le troisième dit : « moi quand je pète, ça fait pas de bruit et ça pue pas... » Les deux premiers le regardent et s’exclament en coeur : ’MAIS A QUOI CA SERT QUE TU PETES ????"