C’est clair qu’en voyant « Quelque chose en plus » de Sophie Robert ils vont voir la différence ! Dans « quelque chose en plus » on voit des éducateurs qui sourient, des enfants heureux de vraies salles de jeux colorées. Enfin bon, des lieux joyeux fait pour des enfants !
Il suffit d’écouter les témoignages des parents d’enfants autistes pour savoir que même les enfants autistes qui n’ont pas de troubles du comportement et qui sont en capacité de suivre en classe accompagnés d’une AVS sont rejetés. Je suis moi même la maman d’un adorable petit garçon qui n’a pas de trouble du comportement et il a fallu batailler pour qu’on lui laisse une place à l’école. Le discours de l’inspection d’académie était qu’un enfant autiste n’a pas sa place à l’école sans même connaitre mon fils ! Heureusement que nous avons bataillé car il est aujourd’hui en CE1 et heureux d’aller à l’école même s’il n’est pas autonome et qu’il a une AVS à ses côtés. L’idée est d’organiser l’inclusion des enfants dans les écoles de quartier car ils font partie de cette société et ont le droit de grandir parmi les autres. L’EN devrait mettre en place des dispositifs qui permettraient de soutenir cette inclusion. On pourrait imaginer dans chaque école un dispositif de soutien et d’accompagnement global des enfants en difficultés pour soutenir et guider les enseignants et ça aiderait aussi les enfants sans handicap qui auraient un besoin d’aide ponctuelle. Au lieu de vouloir exclure les enfants du milieu ordinaire pour qu’ils aient accès à une prise en charge particulière, il faudrait faire venir les prises en charge à l’école et laisser nos enfants grandir avec les autres.Ce document parle mieux de l’inclusion que je ne saurai le faire :
Votre logique est donc de dire comme l’éducation nationale ne met aucun moyens pour soutenir la scolarisation des enfants différents (et ça ne concerne pas que l’autisme. ça concerne également les enfants précoces.), alors excluons les volontier ?
Pourquoi ne pas dire qu’il faut que l’EN mette plus de moyen pour que tous les enfants puissent être accueillis dans l’école de leur quartier plutôt que de se faire exclure ?
On ne demande que ça, que l’EN soutienne les enseignants et que l’on déplace les moyens mis pour les exclure dans l’inclusion !
Il suffit d’écouter les témoignages des parents d’enfants autistes pour savoir que même les enfants autistes qui n’ont pas de troubles du comportement et qui sont en capacité de suivre en classe accompagnés d’une AVS sont rejetés. Je suis moi même la maman d’un adorable petit garçon qui n’a pas de trouble du comportement et il a fallu batailler pour qu’on lui laisse une place à l’école. Le discours de l’inspection d’académie était qu’un enfant autiste n’a pas sa place à l’école sans même connaitre mon fils ! Heureusement que nous avons bataillé car il est aujourd’hui en CE1 et heureux d’aller à l’école même s’il n’est pas autonome et qu’il a une AVS à ses côtés. L’idée est d’organiser l’inclusion des enfants dans les écoles de quartier car ils font partie de cette société et ont le droit de grandir parmi les autres. L’EN devrait mettre en place des dispositifs qui permettraient de soutenir cette inclusion. On pourrait imaginer dans chaque école un dispositif de soutien et d’accompagnement global des enfants en difficultés pour soutenir et guider les enseignants et ça aiderait aussi les enfants sans handicap qui auraient un besoin d’aide ponctuelle. Au lieu de vouloir exclure les enfants du milieu ordinaire pour qu’ils aient accès à une prise en charge particulière, il faudrait faire venir les prises en charge à l’école et laisser nos enfants grandir avec les autres.