A ce sujet, lire « Ou en sommes-nous » d’Emmanuel Todd qui fait le rapprochement entre une fécondité « dysfonctionnelle » de l’Allemagne et du Japon (car ne permettant pas le renouvellement de la population) et les fondements familiaux de ces pays, à savoir la famille souche patrilinéaire anti-égalitaire.
Ils se sont remarquablement adapté à la guerre économique insufflé par le monde anglo saxon, sauf sur le plan démographique.
Ils donnent par ailleurs deux réponses différentes : le Japon accepte cette décroissance car il tient plus que tout à son homogénéité (en attendant des jours meilleurs ?) quand l’Allemagne fait appel à l’immigration de masse, avec le lot d’incertitude sur l’avenir que cela comporte.
@Blé Et encore le bilan du capitalisme n’est que provisoire, il pourrait s’alourdir très lourdement dans les prochaines décennies avec ces conséquences sur l’épuisement des ressources et les désastres écologiques à venir ....
@Pere Plexe Encore faut-il qu’il n’y ai pas d’emprunt en cours pour financer ces investissements, car le remboursement du capital ne rentrer pas non plus dans le calcul du résultat au régime réel.