Essentiellement pour remplacer la fête de « la Victoire » de 1945
par la fête de l’Europe encore et
toujours à (re)construire. C’est le sens de l’appel de Schuman du 9 mai 1950.
Ce sera un signe fort pour les nouvelles générations.
Accessoirement
pour que le « pont » du 8 mai, les années où il
« tombe bien », ne répète pas celui du 1er mai.