Entre nous...quel effet cela fait-il de mettre en valeur la joie de vivre ? Cet article est noble, l’auteur choisi intéressant de part son originalité, sa sobriété, son sens de l’esthétisme et sa simplicité dans le bon sens du terme. Comment interprétez-vous l’image que vous y avez associée ?
Masturbations intellectuelles mises à part, j’aime bien vous lire par curiosité, ainsi que les nombreux commentaires que vous récoltez.
Bien que cela ne soit pas très joyeux, votre article est très pertinent et intéressant.
Effectivement, selon les théories szondiennes, l’axe de la sexualité est représenté par les facteurs "h"() (vénus) et "s"() (mars). L’Eros et le Thanatos. La pulsion de vie et de mort.
Dans le cas que vous exposez, la force (pulsion) libidinale d’un individu capable d’exercer la chirurgie est puissante et dominante. Ce qui le différencie d’un animal, d’un criminel ou d’un boucher (plus évolué) sont , entre autre, ses capacités intellectuelles (Q.I) et le milieu socio-éducatif dans lequel il a grandit.
Il n’en demeure pas moins que cette puissance martiale reste présente dans l’être. Ce qui fait que si l’individu doit décompenser pour des raisons XY (fatigue, surmenage, stress, depression etc), cette force devra bien être canalisée qq part...et peut donner lieu à des drames. Entre d’autres termes, se retourner contre lui.
Un individu dit de type "primaire" sera plus exposé à ce genres de risques décompensatoires. Un type secondaire est déjà plus réfléchi et se maîtrise mieux. Reste à se demander comment un individu primaire peut travailler sur lui-même .pour devenir plus secondaire ..(l’hypnose peut être un outil par exemple...ou un accompagnement médical (psy etc)
Entre nous, vous qui me semblez être un spécialiste de l’excès de z’ailes, pardon de zèle, s’auriez pas un tuyau pour entretenir les miennes ????!!!! eh eh !
Je vous remercie et vous félicite de votre récent article que je découvre avec intérêt. Effectivement, au vu des dérives exacerbées du sentiment dit "amoureux" de notre société de consommation et d’oralité débordante, il y a lieu, à raison, de s’interroger sur une autre façon de vivre "l’amour", peut-être pour étendre ou sublimer ce merveilleux sentiment pour une dimention plus large et holistique que le simple désir de posséder un ou des êtres pour sa propre satisfaction personnelle.Le roman de Julia Kristeva, au travers Thérèse et l’extrait que vous proposez, donne, quelques pistes supplémentaires. Merci !
Je m’étais intéressée à votre article sur la roue de médecine... et je découvre aujourd’hui votre article sur VAN GOGH. Bien que je n’ai pas vraiment un grand intérêt pour ce peintre, j’apprécie néanmoins votre écriture sobre, emprunte d’analyse psychologique . J’apprends en vous lisant, merci.