Exact, je pense qu’une femme n’a pas vocation à faire 10 gosses ! L’accouchement est une violence, et une immense douleur , que vous les hommes, vous ne pouvez pas imaginer. On enfante toujours dans la douleur et puis c’est pas tout, une fois que c’est fait, le plus gros reste à faire : l’education ! Et ça, c’est le boulot de toute une vie !
Ah moi j’ai une fille , j’allais pas en faire plus . Le but n’etant pas de faire un concours mais de bien éduquer et de subvenir aux besoins de ses enfants. Maintenant elle est grande, elle a 24 ans , elle est belle comme un soleil, fait sa vie à Rome, et je pense la rejoindre très bientôt .
Je te propose de lire cet article de Bernard Lugan , je le mets en entier ici :
Le seul moyen pour le continent africain de survivre à la catastrophe démographique c’est subordonner toutes les politiques d’aides et subventions au planning familial, estime le spécialiste de l’Afrique Bernard Lugan.
Dans les années 1950-1960 la population de tout le continent africain était de 275 millions d’habitants, soit 9% de la population mondiale. Dans les années 1990 les Africains étaient 640 millions et ils totalisaient alors 12% de la population mondiale. Dans les années 2050, ils seront entre 2 et 3 milliards (dont 90% au Sud du Sahara), soit 25% de la population du globe, puis 4,2 milliards en 2100, soit 1/3 de la population mondiale. En 2050, 40% des naissances mondiales seront africaines, ce qui, ajouté à la baisse de la mortalité, va conduire à une inéluctable catastrophe*.
L’apogée de la démographie mondiale a ainsi été atteint dans les années 1970 avec un taux de 2,1% d’augmentation annuelle
Avec un taux de fécondité variant entre 3 et 4,8 enfants par femme, l’Afrique voit sa population augmenter de 3% par an, ce qui entraîne un doublement tous les 20 ans. Nous sommes en présence d’une exception africaine car partout ailleurs dans le monde, la tendance a été inversée. L’apogée de la démographie mondiale a ainsi été atteint dans les années 1970 avec un taux de 2,1% d’augmentation annuelle. Puis le taux d’accroissement a baissé à 1,7% dans la décennie 1990, Asie incluse. L’Afrique n’a pas suivi ce mouvement.