"La liberté d’expression surtout en matière religieuse est un droit
imprescriptible qui ne souffre d’aucunes limites , dire le contraire
c’est déjà y renoncer : une vraie mentalité d’esclave !«
Souffrez donc que grâce à cette même »liberté d’expression« , nouveau joujou fourre-tout de l’extrême-droite, ces mêmes communautés vous retournent vos insultes. Constatez ensuite l’état dans lequel se trouve »notre" monde.
Pardon, mais c’est vous qui êtes à côté de la plaque.... Donnez-moi alors une autre définition de cette haine ciblée qui vous conduit au dénigrement d’une partie de l’espèce humaine au prétexte d’idéologies divergentes ? Que je puisse vous insulter à souhait sous couvert de liberté d’expression comme vous le faîtes si bien avec tout ce qui touche à l’Islam raciste !.
Levée de bouclier des fachovoxiens. L’argument massue censé mettre un terme à tout développement : le racisme n’existe pas puisque les races non plus... Sauf peut-être le racisme anti-blancs, celui-là il est grave quand même.
"Si la notion de « race humaine »
et le concept du racisme sont partie liée, l’étude de leurs relations
nécessite d’opérer une première distinction entre la race en tant que
concept biologique et la race en tant que construction sociale que l’on
peut définir comme « un signe ou un ensemble de signes par lesquels un
groupe, une collectivité, un ensemble humain est identifié, dans
certains contextes historiques précis, cette apparence socialement
construite variant suivant les sociétés et les époques. Au cours de l’histoire, les définitions sociales de la « race » se sont
appuyées sur la race en tant que concept biologique. Mais la race, en
tant que construction sociale, est largement indépendante des travaux
menés sur la classification biologique des êtres humains. Cette
autonomie se manifeste pleinement depuis la seconde moitié du XXe siècle14
où les effets du système de perception raciste perdurent en dépit d’un
usage moins fréquent, voire d’un rejet de la pertinence du concept de
race par la communauté scientifique." wikipédia