40 années d’observation de la vie politique montre que les centristes ont toujours soutenus la droite républicaine ! Surtout du temps de Jean Lecanuet mais après aussi même et surtout après les trahison (Cf Giscard D’Estaing, présidentielle de 1981).
Qu’est-ce qui aurait changé 30 ou 35 ans après pour justifier la rebellion de François Bayrou et faire se retourner dans sa tombe Jean Lecanuet qui honnissait la gauche socialo-communiste ?
1°) La situation de la France ? Dans les années 60/70 c’était l’expansion avec la hausse permanente de la consommation alors qu’aujourd’hui ce cycle est à bout de souffle.
2°) La dette de la France ? Le déficit de fonctionnement (train de vie de la France) est récurant. Comme une entreprise ou un ménage, quand il manque de l’argent pour payer ses dettes, on emprunte... C’est la fuite en avant permanente et c’est nous qui payons les intérêts.
3°) Les institutions ? D’année en année elles sont dévoyées et le mot démocratie dévalorisé. L’absence de contre-pouvoir réels, confusion des rôles des gouvernements successifs (excécutif et législatif) par la priorité donnée aux textes présentés par le gouvernement, l’absence de contrôle des parlementaires dont c’est pourtant la tâche principale, etc etc...
Alors que les gens ne trouvent pas à se loger, que le déficit est récurant, que la dette progresse d’année en année, que, de plus en plus, les familles tirent la langue, que l’avenir de nos enfants est obérée par l’incurie de ceux qui, disent-ils, détiennent à eux seuls la vérité, toute la vérité et nous ont conduits là où nous sommes, les principaux candidats se targuent de promesses qui ne leur coûtent rien et que nous devrons payer un jour sinon nos enfants.
C’est proprement le manque de courage politique autant que les pratiques ancestrales qui pèsent et dont les deux principales formations politiques ont fait leur emblème : C’est tellement difficile d’avoir le pouvoir, qu’une fois qu’on l’a, on fait tout ou presque pour le garder et si possible pour soi, tout seul dit Bayrou.
A ce compte là, on se dirige tout droit vers ce que chacun redoute : la dictature.
A moins qu’un homme courageux ne soit en mesure d’être le recours, parce que proposer ne suffit pas.
Malheureusement, ces soi-disant partis politiques, responsables paraît-il, n’ont besoin de personne pour continuer la gabegie, le populisme et autres méthodes qui témoignent d’une certaine indifférence à ce qui est la grandeur de notre pays et ce qui peut le redresser, pourvu que ce soit eux qui soient aux commandes.
Dans ce contexte, François Bayrou ne peut être qu’un mouvement de diversion tant il est tributaire de ceux qui l’on fait : l’UMP.
Ce ne sont pas ses intentions qui sont en cause, sans doute a-t-il raison. Ce sont les éléments objectifs qui ne sont pas mures : le peuple français ne semble pas avoir pris conscience majoritairement de la situation qui est la nôtre !
Et les nuages continuent de s’amonceler au-dessus de nos têtes ... Jusqu’à quand ? Et pour aboutir à quoi ? Un autre mai 68 mais en pire, en plus dur ?
Le danger réel, pour nous français, c’est l’implosion. Ecoutant Giles De Robien le lendemain de « j’ai une question à vous poser » avec Bayrou, dit que le danger est la confusion entre la droite et la gauche. Je pense qu’en effet c’est un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre mais je préfère à ce qui oppose les français entre eux, ce qui peut les rapprocher.
Pour nous rapprocher il faut se respecter ! et on en est bien loin.
Chacun dans sa logique, soutenus par des énarques émérites, des lobbies débordants d’activité, cette campagne présidentielle augure de lendemains difficiles, encore plus difficiles.
Reconnaissons quand même qu’ils ont du mérite ces politiques : ils croient en leur discours et leur promesses mais se gardent bien de montrer l’exemple.
Ah, l’Education Nationale ! Un poème ! que dis-je un poème ! Un bastion ! Un Etat dans l’Etat !
Pas les profs ! Eux aussi subissent ! Pris entre le marteau et l’enclume (lisez leur les parents et la hiérarchie), les uns se servant des autres, et ils n’ont pas conscience qu’ils sont des pro de la pédagogie et que sans eux (les profs), rien ne serait possible sans eux.
Or, les véritables tenants du pouvoir sont les Inspecteurs d’académie chargés dans les départements de faire appliquer la Loi ! Toutes les Lois ! (à concurrence des crédits dont ils disposent). Et attention : qu’aucune tête ne dépasse !
Sachez braves gens, que lorsqu’un prof veut mettre en place un voyage pédagogique, il doit se débrouiller pour trouver les fonds auprès de sponsors !!!
Je passe sur les tracasseries administratives et les bâtons dans les roues lorsque vous ne plaisez pas ou que votre langue et surtout ce qu’elle dit déplait au chef d’établissement !
Alors, ils y a des gens bien dans l’éducation nationale voire même très bien. Trop bien peut-être pour ceux qui sont assis dans des fauteuils de cuir trop grands pour ceux et qui ont perdu le contact avec le terrain et le rôle véritable de l’école : donner le goût d’apprendre est plus important qu’apprendre.
40 années d’observation de la vie politique montre que les centristes ont toujours soutenus la droite républicaine ! Surtout du temps de Jean Lecanuet mais après aussi même et surtout après les trahison (Cf Giscard D’Estaing, présidentielle de 1981).
Qu’est-ce qui aurait changé 30 ou 35 ans après pour justifier la rebellion de François Bayrou et faire se retourner dans sa tombe Jean Lecanuet qui honissait la gauche socialo-communiste ?
1°) La situation de la France ?
Dans les années 60/70 c’était l’expansion avec la hausse permanente de la consommation alors qu’aujourd’hui ce cycle est à bout de souffle.
2°) La dette de la France ?
Le déficit de fonctionnement (train de vie de la France) est récurant. Comme une entreprise ou un ménage, quand il manque de l’argent pour payer ses dettes, on emprunte... C’est la fuite en avant permanente et c’est nous qui payons les intérêts.
3°) Les intitutions ?
D’année en année elles sont dévoyées et le mot démocratie dévalorisé. L’absence de contre-pouvoir réels, confusion des rôles des gouvernements successifs (excécutif et législatif) par la priorité donnée aux textes présentés par le gouvernement, l’absence de contrôle des parlementaires dont c’est pourtant la tâche principale, etc etc...
Alors que les gens ne trouvent pas à se loger, que le déficit est récurant, que la dette progresse d’année en année, que, de plus en plus, les familles tirent la langue, que l’avenir de nos enfants est obérrée par l’incurie de ceux qui, disent-ils, détiennent à eux seuls la vérité, toute la vérité et nous ont conduits là où nous sommes, les principaux candidats se targuent de promesses qui ne leur coûtent rien et que nous devrons payer un jour sinon nos enfants.
C’est proprement le manque de courage politique autant que les pratiques ancestrales qui pèsent et dont les deux principales formations politiques ont fait leur emblème : C’est tellement difficile d’avoir le pouvoir, qu’une fois qu’on l’a, on fait tout ou presque pour le garder et si possible pour soi, tout seul dit Bayrou.
A ce compte là, on se dirige tout droit vers ce que chacun redoute : la dictature.
A moins qu’un homme courageux ne soit en mesure d’être le recours, parce que proposer ne suffit pas.
Malheureusement, ces soi-disants partis politiques, responsables paraît-il, n’ont besoin de personne pour continuer la gabegie, le populisme et autres méthodes qui témoignent d’une certaine indifférence à ce qui est la grandeur de notre pays et ce qui peut le redresser, pourvu que ce soit eux qui soient aux commandes.
Dans ce contexte, François Bayrou ne peut être qu’un mouvement de diversion tant il est tributaire de ceux qui l’on fait : l’UMP.
Ce ne sont pas ses intentions qui sont en cause, sans doute a-t-il raison. Ce sont les éléments objectifs qui ne sont pas mures : le peuple français ne semble pas avoir pris conscience majoritairement de la situation qui est la nôtre !
Et les nuages continuent de s’amonceler au-dessus de nos têtes ... Jusqu’à quand ? Et pour aboutir à quoi ? Un autre mai 68 mais en pire, en plus dur ?
Le danger réel, pour nous français, c’est l’implosion. Ecoutant Giles De Robien le lendemain de « j’ai une question à vous poser » avec Bayrou, dit que le danger est la confusion entre la droite et la gauche. Je pense qu’en effet c’est un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre mais je préfère à ce qui oppose les français entre eux, ce qui peut les rapprocher.
Pour nous rapprocher il faut se respecter ! et on en est bien loin.
Chacun dans sa logique, soutenus par des énarques émérites, des lobbies débordants d’activité, cette campagne présidentielle augure de lendemains difficiles, encore plus difficiles.
Reconnaissons quand même qu’ils ont du mérite ces politiques : ils croient en leur discours et leur promesses mais se gardent bien de montrer l’exemple.