La méthode est puissante et précise parce que l’on peut choisir *quel gène* on transmet, ce qui n’est pas le cas en sélection variétale classique.
L’endroit où s’insère le gène est hasardeux, mais on peut savoir où il a eu lieu et recommencer l’opération si on trouve que cet endroit est mal choisit (au milieu ou a proximité d’un gène fonctionnel, pas exemple). Ce n’est donc pas un problème en soi.
Le problème des réactions et des « effet secondaire » est exactement le même dans un croisement classique. On croise deux génômes entiers et on ne sais pas ce que ça va donné.
Sauf que ce sont des génomes entiers que l’on croise dans ce cas ! Alors que dans le cas des ogm, c’est un pack précis et raisonné que l’on introduit. Le risque est donc bien mieux maitrisé dans le cas ogm.
Simplement l’ignorance qu’on la plupart des citoyens, dont vous Maria a priori, concernant la sélection variétale classique, celle qui dure depuis 10 000 ans sans catastrophe ni problème majeur leur fait juger neuf un vieux problème assez anodin.