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GillesR

 
 
Comme dit mon viel ami Africain :
 
"Quand tu es dans un seau de merde l'essentiel est de surnager"
 
Et ce sage d'ajouter :
 
"si tu t'endors avec le cul qui te gratte, tu réveilles avec les doigts qui sentent"

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Derniers commentaires



  • GillesR 3 novembre 2011 16:02
    Par Martin D (xxx.xxx.xxx.246) 3 novembre 14:30

    à rienàfoutiste

    toi t’es un bon : pendant que l’occident croyait que la peste ou la lèpre se propageait par le regard, ou que être sale était la normalité, dans l’empire musulman on vivait un âge d’or dans tous les domaines de la société : médecine, paramédicale, astronomie, mathématique, philosophie, contes, sociologique, ethnologique, etc...et ceci grâce à la religion musulmane qui oblige le croyant à toujours apprendre pour servir la communauté


    Non, non, non. On ne fait pas semblant de confondre la civilisation Arabe et l’islam qui s’est implantée bien tard.


    En revanche, le civilisation Arabe était brillante. Regardez où vous amené l’islam.



  • GillesR 3 novembre 2011 14:45

    Notre très sainte, déesse des déesses, Trinity ?



  • GillesR 3 novembre 2011 07:21

    En plein dans le mille.



  • GillesR 2 novembre 2011 21:49
    L’objectif de cette rhétorique :

    1- affaiblir le poids des faits relatés par l’auteur. Sous-entendu : il n’ y a pas que ça dans la vie, par exemple.

    2- mettre en doute la sincérité ou l’objectivité de l’auteur. Si l’auteur n’en n’a pas parlé, c’est forcément qu’il est partial.

    3- faire dévier un fil de discussion. Le nouveau sujet lancé fera diversion, les commentateurs vont se focaliser sur ces argumentations plutôt que sur l’article et son idée principale. On part dans une bataille purement rhétorique.

    4- excuser les faits par une relativisation générale. C’est un peu ce qu’on faisait enfants, quand nos parents nous grondaient : « oui mais UNTEL, il a dit cacaproutboudin ».



  • GillesR 2 novembre 2011 21:46

    « ncore une fois : le pays des droits de l’homme où tant d’enfants ont le droit de mourir dans l’indifférence totale, pendant qu’une poignée de sombres personnages s’extasient sur un seul bébé et le  »sauvent« de trois moqueries. »



    La rhétorique du miroir déformant...
     Pourquoi déformant ?

    Tout simplement parce que l’argumentaire proposé est supposé être un miroir des faits exposé par l’auteur. On parlera donc de faits similaires ou supposés tels (la véracité n’entre pas en ligne de compte).

    Mais il est déformant parce qu’en cherchant à nuancer l’inexcusable, on voulant nier ou relativiser des faits avérés, parfois graves, les utilisateurs de cette technique sont obligés de déformer ces faits. De leur donner une proportion qui n’est pas la leur à l’origine (le nombre, la fréquence, l’impact, l’intérêt…). Grossir et forcer le trait, voire mentir.

    Ainsi on arrive à mettre sur le même pied mitraillage de gendarmerie la nuit en Corse à un attentat dans le métro qui fait 200 morts. Ainsi on arrive à mettre sur le même pied (mais avec du recul et de la réflexion hein !), le fouettage en public de femmes comme justice d’état rendue et la violence conjugale privée en France. Ou bien l’envoi de quelques roquettes artisanales sur une colonie et une opération militaire de type « plomb durci ». Parfois aussi le vortex temporel est important. Ainsi on pourra vous ressortir le sort des sorcières sous l’inquisition pour réagir à des faits actuels. Mais tout cela : sans prendre parti, évidemment.

    Tant il est vrai que pour certaines causes, il est pratique de relativiser…



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