Bien entendu il faut travailler à l’élaboration d’un vaccin, avant dix ans l’affaire sera réglée. En attendant, la chimie peut agir sur la partie la moins connue du virus à savoir l’espace liquidien dans lequel baigne la capside qui contient le matériel génétique et l’enveloppe. Il est urgent de connaître la nature physico-chimique de ce milieu, protéines et transmetteurs de l’information génétique aux structures externes, à ce moment c’est la mort assurée du VIH et de tous les virus à enveloppe, voilà un concours pour un futur prix Nobel. La virologie est une science plus complexe qu’il n’y parait, voir l’ouvrage du professeur FLEURY chez Masson et celui de Jean-Pierre SALUZZO « A la conquête des virus » Belin.