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glinglin

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  • glinglin 20 avril 2010 09:51

    Bonjour Mr Chalot,
    Notre association est prêt à collaborer (autant qu’elle peut) avec celles qui sont déjà sensiblisées à ces problemes. Merci de nous contacter sur [email protected]
    Lucie



  • glinglin 28 septembre 2009 11:26

    L’ASSOCIATION INTERNATIONALE DES VICTIMES DE L’INCESTE SE REJOUIT DE LA DISPARITION DE LA DEFENSEURE DES ENFANTS

      

    Le projet de loi organique sur la création du « défenseur des droits », qui remplacera la défenseure des enfants réjouit les victimes d’inceste. Celles-ci réclamaient déjà la démission de la pseudo défenseure des enfants le le 24 novembre 2008.

     

    PLACE A L’ACTION

     

    Le nouveau dispositif proposé par Michèle Alliot Marie s’avère indispensable au respect du droit des enfants car il disposera de plus de pouvoirs et d’avantages pour les protéger tel le pouvoir d’injonction, celui de connaître des agissements de personnes privées en matière de protection de l’enfance et la possibilité de saisine gratuite par toute personne s’estimant lésée par le fonctionnement d’un service public.

     

    Contrairement au défenseur des enfants, quasi impuissant, cette nouvelle instance pourra prononcer une injonction lorsque ses recommandations ne sont pas suivies d’effet, proposer une transaction, être entendue par toute juridiction ou saisir le Conseil d’Etat d’une demande d’avis sur les textes. Elle bénéficiera de larges pouvoirs d’investigation, selon Luc Chatel. 

     

    Toutes ces prérogatives manquent au défenseur des enfants qui fait de beaux rapports mais ne sait pas combien il y a de victimes d’inceste en France ni comment elles sont prises en charges ! AIVI a d’ailleurs renoncé depuis longtemps à orienter les victimes vers cette vitrine. Une telle instance devrait être véritablement indépendante, y compris financièrement (voir l’affaire Claire Brisset), immunisée des lobbies visant à taire la parole de l’enfant. Nous espérons que le « Défenseur des droits » sera mieux instruit des problèmes de société dont il aura la charge.

     

    UNE INSTANCE SOUS INFLUENCE

     

    Le rapport rendu par MMe Versini le 20 novembre 2008 (à partir de la page 57) constituait une offense aux enfants victimes de ce fléau de santé publique (2 millions de français concernés par l’inceste d’après le sondage IPSOS pour AIVI de janvier 2009).

     

    « Enfants au cour des séparations parentales conflictuelles », tel était le titre du rapport 2008 de la défenseure des enfants. Nous dirons : « Un rapport sous influence », un éloge à l’invention du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

     

    Lorsque les parents se séparent, l’enfant se sent en sécurité avec son parent protecteur. Là, il révèle l’inceste qu’il subit de l’autre parent. Le parent protecteur informe immédiatement les autorités judiciaires, porte plainte. C’est à ce moment là que ce parent sera accusé par son ex-conjoint de souffrir du Syndrome d’Aliénation Parentale.

     

    Inventée par Richard Gardner dans les années 70, cette pseudo maladie nommée SAP (Syndrome d’Aliénation Parentale) n’a jamais été prouvée scientifiquement, son seul objectif étant de discréditer l’enfant agressé et son parent protecteur.

     

    R. Gardner tenait des propos pro-pédophiles, ce qui n’empêche pas Madame Versini de s’appuyer sur ses théories :

     

    « C’est parce qu’une société réagit de manière excessive à la pédophilie que les enfants souffrent » Gardner, R.A. (1992). True and False Accusations of Child Sex Abuse . Cresskill, NJ : Creative Therapeutics. (pp. 594-5)

     

    R. Gardner suggère que les enfants sont désireux d’avoir des relations sexuelles avec des adultes et peuvent les séduire : Si la relation sexuelle est découverte, « l’enfant est capable de mentir pour que l’adulte soit blâmé d’avoir initié l’acte » Gardner, R.A. (1986). Child Custody Litigation : A Guide for Parents and Mental Health Professionals. Cresskill, NJ : Creative Therapeutics (p. 93).

     

    La défenseure occulte le principal objet à l’origine de ce pseudo syndrome : l’inceste, alors qu’il n’y a pas d’accusation de SAP sans révélation d’inceste préalable par l’enfant.

     

      

    UNE INCOMPETENCE AFFICHEE

     

    D’ailleurs, Madame Versini ne connait ni les chiffres, ni le traitement des affaires d’inceste (cf. Europe1 question de Marie Drucker le 20/11/2008). Son cabinet nous a révélé qu’il avait peu de cas d’inceste à traiter, ce qui nous surprend pour un crime qui occupe 20 à 80% de l’activité des tribunaux d’assises. Le défenseur des droits pourra certainement prendre plus d’affaires en charge que le cabinet de Mme Versini qui nous dit ne pas pouvoir souvent intervenir.

     

    Mme Versini préfère accuser les enfants sur les ondes de fausses allégations, sans citer de chiffres, ni d’études. Pourtant le rapport Viaux pour le Ministère de la justice, a chiffré que dans le cadre de conflits parentaux, seuls 7 cas sur 1000 étaient réellement des fausses allégations.

     

    « Les mères victimes, projetteraient leur propre vécu sur leurs enfants » déclare la défenseure dans son rapport, encore une fois, sans base scientifique. Faux selon les études américaines (Fitzgerald Monica Université de Géorgie 2005).

     

    Choqués de propos aussi graves et défavorables aux enfants nous n’acceptons plus qu’une représentante des droits des enfants ne sache pas que, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, l’inceste concerne 1 enfant sur 4 (étude Suisse 1991) et ne s’intéresse pas à un sujet aussi critique dans notre société.

     

     

    ps : AIVI est une association de victimes et proches de victimes apolitique et non subventionnée.

     

    Avec le soutien d’SOS les MAMANS - WWW.SOSLESMAMANS.COM-



  • glinglin 3 août 2009 12:09


    Le premier concerné serait donc le dernier avoir la parole ?? Logique !!!
    « Le parent chez lequel la résidence habituelle des enfants est fixée, doit donc faire en sorte que le droit de visite soit respecté, quand bien même l’enfant s’en plaindrait. »
    On s’etonne alors du nombre d’enfant maltraités, abusés...la « justice » se polarise plus sur l’application d’un droit de visite (pour les adultes et leurs sacro saint droits A l’enfant, comme un bien indivis) que sur les raisons qui pousserait un enfant à les refuser.

    Cette logique là revient à fouler au pied leurs droits fondamentaux. VOUS avez le droit de vous plaindre de votre voisin agressif, mais si vous etes un enfant qui (pas de bol ) est tombé sur un parent toxique, IL n’a pas le droit de s’en plaindre.
    Bravo le pays des droits de l’homme !!!
    On imagine mal dans les familles non séparés des parents qui « obligerait » un enfant a se rendre chez une tata « toxique », des Ténardiers« de parents qui veraient leur brutalité mis à l’amende.
    Vous êtes tombé sur un binome »tourdu et malsain" ? Vous le quittez pour sauver votre peau ??...et bien la chair de votre chair sera OBLIGE de se le taper (les liens du sang sacro saints).On n’a pas le DROIT d’empecher un parent malsain de faire du mal à son mome. C’est Mme la justice (des adultes) qui l’a dit !!

    Clap clap.


     



  • glinglin 13 juin 2008 12:02

    Les papas=les mamans : le pseudo me choque aussi par son vide sidéral de sens. Les parents sont complementaires c’est pourquoi ils sont deux. Ils ont leurs roles à jouer differemment et selon l’age des enfants plus l’un que l’autre. Nier la prépondérance des mamans en début de vie est dans la petite enfance est nier la figure parentale securitaire qui est... la mere. Il n’y a que les "negationistes" qui refutent cela, toute personne un peu de bon sens imagine aisément pourquoi....
    Pour ceux qui veulent voir les avis des plus grands, Winnicott, Brazelton,Lamb etc...il suffit de chercher sur Google.

    Il faut savoir que pour l’ASSOCIATION FRANÇAISE DE PSYCHIATRIE « chacun des deux parents a les mêmes droits, mais pas la même utilité au même moment, pour l’enfant. Méconnaître la prééminence de la mère au début de la vie, c’est méconnaître que le petit d’homme naît prématuré, qu’il poursuit alors son développement neuro-encéphalique et qu’il ne commence à s’individuer qu’après un temps d’intense relation avec la mère et avec le corps de la mère. Ce temps fondateur et sa nécessaire évolution ne sont pas compatibles avec l’exercice de droits des parents qui seraient égalitaires. Bien au contraire, il faut respecter le temps nécessaire pour l’enfant, son droit à lui.  »

    L’egalité devrait être dans la partage des taches et là on sait via de nombreuses études que...ce n’est pas le cas aujourd’hui. L’etude du Céreq publiée l’été 2007 conclue, « ce sont toujours les femmes qui assument encore l’essentiel des charges domestiques, et la "spécialisation vers des rôles conjugaux traditionnels" s’accentue même au fur et à mesure que la famille s’agrandit » et de préciser encore « 91% des pères déclarent ainsi que leur situation professionnelle n’a en rien été affectée par la naissance de leur premier enfant et, lorsque le deuxième arrive, 96% ne déclarent aucun changement. »

    Quand aux propos de Mme Badinder on reste sans voix quand on lit qu’elle relégue l’instinct maternel au rang de « mythe » en reprenant cette interrogation* ; « L’instinct maternel existe-t-il ou est-ce une énorme blague destinée à persuader les femmes que c’est à elles de faire le sale boulot ? ». Ces propos ont pour les mères, et toujours selon Mme Badinter « (..) un effet incontestable de déculpabilisation de celles-ci et une influence décisive sur le changement des mentalités »

    Moi désolé mais les meres (elle a eu 4 enfants) qui considerent leurs enfants comme du "sale boulot" ce n’est pas pour moi une reference !!!

    La maternité est foulée au pied par LMPL n’amene pas à "l’égalité" parentale. On sait que derriere LMPL il y a un militant bien connu de la cause des pères : le chanteur Cali. Il serait bien qu’il puisse leur rappeler aussi leurs devoirs : de 40 à 60 % des pensions alimentaires ne sont pas payées pour les enfants. Normal Cali ?

     


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