Je suis assez d’accord.
Si la fonction du littérateur n’est que d’être le pourvoyeur d’une vision acceptable de la réalité, celle-ci elle-même cautionnée par l’éminence toute « bourgeoise » du style, c’est la porte ouverte à tous les bovarysmes.
Car, comme le dit Houellebecq lui-même, rappelant les mots de Schopenhauer : le monde n’est pas seulement un panorama.
Si la dépression schopenhaurienne vous heurte, libre à vous de lui préférer les jubilations nietzschéennes de Sollers dans sa « Vie divine ». De tout façon,ce genre d’alternative ne fera jamais le sens véritable du geste littéraire...