Godevin

Sécurité et socialisme dans la même phrase... ca fait vachement sérieux  Ca fait des années qu’ils vivent au pays des Bisounours en relisant Rousseau et le mythe du bon sauvage.

C’est une course effrénée aux excuses bidons en séries : racisme, islamophobie, la société... Enfin bref, les autres... toujours les autres. Ca permet au moins de se dédouaner à bon compte et d’avoir amené une bonne dose de bon karma à ces sauvageons.

Et pendant ce temps on oublie ce qui me parait important : la responsabilité individuelle. Mais non, on préfere se décharger sur les « autres » c’est vachement plus commode.

Quel pathos !

On a vraiment droit à tous les clichés jusqu’a la blague forcement raciste entre les gendarmes et le controleur (à ce propos, vous pourriez nous la raconter, on jugera sur pièce)

Pauvre black, entravé, que j’imagine, à vous lire, trainé sur le béton de la gare sous les regards froids de la ges... gendarmerie (alors ce devait être des regard avinés forcements) et tout ca dans le pays des droits de l’homme. Et je me pose soudainement : notre pauvre black avait-il rempli ses devoirs ? Parce que les uns ne vont pas sans les autres.

Alors vous avez envie envie de crier votre indignation... mais pas trop fort quand même hein !?
On ne sait jamais.

Vous faites du sous BHL et je me demande comment vous pouvez faire pour vivre dans un pays aussi intolérant. Masochisme ?

Je suis extrêmement gêné par cet article. Pourquoi des prénoms occidentaux pour un supplice qui ne l’est pas ? Je fais mal le lien.
La dernière lapidation à laquelle j’ai assisté (en Mauritanie), il ne m’a pas semblé que les participants se nommaient Albert, Gus ou Jeannot.
Quelle est l’utilité de ce choix de prénoms ? Pourquoi un supplice qui n’a jamais eu court en occident ? Bon ca aurait été un bon vieux lynchage, pourquoi pas mais une lapidation... 

En tous cas un grand merci pour les liens 

Les Amish, à la différence, d’autres immigrés, sont arrivés en même temps aux Amériques. (fin XVIIeme à la louche) et se sont développés en parallèle des autres migrants. Qui plus est, le fond de culture est le même.

C’est pas forcement le bon exemple...