La question n’est évidemment pas dans l’utilisation du mot « negru » mais dans le fait d’avoir besoin de qualifier la couleur d’un homme noir quand on s’adresse à lui, alors qu’on ne le ferait en aucune façon pour un blanc.
Ceux qui nient ce fait, ceux qui multiplient les arguties sémantiques à l’image de l’auteur sont ou bien des menteurs manipulateurs, ou bien des imbéciles (le cumul des deux est parfaitement possible).