« Une blockchain sans Bitcoin encourt le risque d’être peu souveraine et donc d’être piratée »
Je ne vois pas pourquoi. Dans le cas de la validation de transactions, le risque (couvert par le coût de la preuve de travail) est que les validations soient trustées par le même groupe, qui pourrait alors valider des malversations.
Dans d’autres cas il est tout à fait possible d’imaginer un système réparti qui couvre le risque de trust par d’autres moyens
2 erreurs parmi d’autres :
1) la Blockchain est une architecture permettant de repartir la validation (d’un scrutin, par exemple) pour se passer d’une autorité centrale. Elle est par construction indépendante de Bitcoin (c’est l’inverse qui est faux).
2) « . Si vous enlevez les bitcoins, la majorité des mineurs cesseraient le minage ». Le nombre total de bitcoins étant déjà fixé, arrivera un moment où il ne sera plus possible de créer des bitcoins pour rémunérer les mineurs, il faudra trouver autre chose...
La Contribution Sociale Généralisée est le moyen de faire reposer l’impôt sur d’autres revenus que ceux du travail. Il faut donc l’étendre, notamment pour financer les retraites.
50 musulmans sont tués dans une mosquée par un supremaciste ne se revendiquant d’aucune religion : concert de lamentations, surenchères de condamnations. De braves ménagères de Christchurch vont jusqu’à faire un doigt à la Daesh...
320 chrétiens Sri-Lankais sont massacrés dans des églises en « représailles » : le monde regarde ailleurs, l’ignobl AFP trouve le moyen de faire croire que les victimes des massacres inter religieux sont généralement musulmanes...
Les kouffars doivent-ils eux aussi faire régner la terreur pour cesser d’etre méprisés ?