On s’attendrait que les journalistes s’interrogent de façon
plus pointue sur la bizarrerie des chiffres du chômage de ce mois, dont
l’annonce a été faite deux jours plus tôt qu’à l’habitude, ce qui aurait dû les
alerter.
J’ai un début d’explication à ce phénomène : certains chômeurs ont
probablement l’habitude de procéder à l’actualisation le dernier jour soit
jusqu’au 17. Certains parmi ceux qui n’ont ni téléphone mobile évolué, ni
internet, n’ont pas capté que la date butoir avait changé, et donc 0,8% des
chômeurs se sont trouvés hors délai.
Et 100% des journalistes suspects de
complaisance avec le gouvernement en place, puisqu’ils ne font que reprendre la
version officielle sans faire leur boulot d’investigation et d’explication de
cette hausse inexplicable de ces défauts d’actualisation supplémentaires.
Encore un coup tordu pour que François gagne sa promesse avant la fin de cette année ?