Les
57 % sont des dépenses publiques par rapport au PIB (en 2016 : 2 .488
milliards d’euros) soit 1.418 milliards de dépenses publiques. Les recettes fiscales (ce que vous appelez les impôts)
sont les recettes provenant des impôts qu’ils soient directs et indirects. Les recettes
fiscales sont des recettes majeures car elles représententplus de 90% de l’ensemble des
recettes de l’État. A titre d’exemple, en 2016, les recettes fiscales
nettes devraient représenter 288 milliards d’euros soit 11,58 % du PIB (sur un
total de recettes de 292 milliards d’euros).Le solde budgétaire
en 2016 est négatif à 73 milliards d’€, donc la France empruntera ce montant
sur les marchés financiers essentiellement auprès de particuliers (en France détenteurs
de contrats d’assurance vie en euros 80 % des 1.600 milliards détenus), auprès
d’étrangers pour plus de 60 % (fonds de pensions, pays pétroliers etc) mais pas
auprès des banques contrairement à ce qui est écrit trop souvent sur les
réseaux sociaux.Les dépenses
sociales sont de l’ordre de 620 milliards € et comprennent les retraites pour
environ 240 milliardsEtc
Au début, il y eu l’esclavage, ensuite il y eu la reconnaissance de
dette qui a réduit de nouveau à l’esclavage, il y eu ensuite la remise des
dettes tous les 7 ans puis lors du jubilé, puis une longue période de retour à
l’esclavage et de nouveau le retour des dettes réduisant à l’esclavage nos
contemporains. Tous les prétextes sont bons pour l’esclavage. A chaque fois,
l’esclavage aurait pu s’appeler impôt
L’état ne créant pas de richesse, il n’y a que le secteur marchand pour en créer, à partir du moment où l’état donnerait quelque chose, cela veut dire qu’il prend moins. L’état n’a donc pas donné 50 milliards aux entreprises, il leur a pris moins c’est cela qu’il fallait comprendre ; et encore moins au président du MEDEF
Il est en effet absolument nécessaire que nos dirigeants européens reviennent à la réalité. La seule solution à la crise de l’euro est d’organiser une monnaie commune comme elle aurait due être faite initialement et non une monnaie unique. Ainsi chaque pays revenant d’une manière organisée à sa propre monnaie nationale acceptant en même temps des taux de change flexibles. Il devra être parallèllmeent interdit à tout pays d’avoir recours à l’émission monétaire et au recours à la dette. Il faudra aussi fermer les banques centrales nationales.