Je lis toujours avec emerveillement vos articles bien structurés et argumentés. Toutefois cela reste très théorique, il faut absolument que vous parveniez à faire quelques missions d’IE en mixant cabinets français et anglophones et vous verrez que pour décrocher ce 1 % de renseignement il faut du pognon, des filles et des bidules electroniques, tout le reste c’est de la " musica celestial".
Bien à vous
Bravo Jean Michel, vous avez raison, raison, raison.
Mais pourquoi nos politiciens depuis 30 ans sont incapables d’affronter la réalité et faire ce qui doit être fait pour le bien du pays ?
Quel est le fondement culturel qui les « verrouille »
Notre héritage monarchique ?( attendre la révolution pour changer ), notre système politique clientéliste ?
je ne sais pas, qui à des pistes de reflexion ?
L’I.E est-ce un métier ?
Oui mais pas feutré et propre, comme cela est vécu en France.
Les outils de base de l’IE reste la cash pour payer ses informateurs, les filles, les écoutes et les filatures, le reste c’est de la littérature.
C’est marrant cela ressemble à de l’espionnage !!?
Merci Francis pour cet article qui éclaire sur l’exception française en IE. Nous parlons les autres agissent.
Nos collègues anglo-saxons considérent que nous cherchons à maquiller une activité « sans règle du jeu » en une brillante discipline universitaire pour militaire en pre-retraite...