@Spartacus Mouais... votre « blague » ressemblait furieusement à une tentative d’avoir le dernier mot, de la part de quelqu’un qui pensait moucher l’auteur avec un argument bien senti, mais qui s’est fait renvoyer dans les cordes. Surtout que l’accusation en matérialisme pour « vendre » un livre... hum... bon... « Un jour peut être arriverez vous a faire une phrase de votre libre arbitre sans être obligé de la copier ? »... et ça recommence. C’est sensé être drôle ? Pertinent ? Ou... condescendant ?
On sent l’aigreur du type orgueilleux qui se prend pour le premier de
la classe et qui acculé n’a comme autre solution que de mépriser le
contradicteur en phrases condescendantes pour nier ses erreurs.
Un peu d’humilité et mois d’orgueil vous serait utile....
@Spartacus Et les entreprises privées et les investisseurs ne sont pas la société non plus. Qu’il y ai du clientélisme dans les systèmes étatiques, évidant. On se demande pourquoi les Balkany sont encore et toujours élus, pour ne citez qu’eux. Mais que les capitalistes n’investissent que pour le bien être de l’humanité... putain... vous êtes sacrément gonflé ! A oui, mais non. C’est vrai, si elles agissent « mal », elles déposent le bilan et puis il y a la main invisible. A moins qu’elles ne soient en connivence avec ces politiques que vous aimez tant critiquer... A moins que la somme d’intérêt individuels n’aient rien à voir avec l’intérêt commun... A moins qu’il soit assez facile de convaincre des gens de consommer à l’encontre de leur intérêt propre... A moins que ces calculs bidons de bilan, de dépenses, de rentabilités, ne soient justement que des calculs bidons générant un paquet d’externalités qui doivent être gérées ensuite par la communauté, bref privatisation des bénéfices, nationalisation des pertes... Mais vive le libéralisme, il n’y a plus de criminalité, les chauffeurs UBBER sont maintenant en costard cravate. Vous êtes vraiment un bon ! Je n’arrive pas à comprendre si vous êtes juste cynique et uniquement la dans le but de mettre le doute à quelques âmes égarées, ou si vous êtes complètement aveuglé par votre foi dans le marché. Parce que vous n’avez pas l’air d’être trop trop con. En tout cas, vous seriez sacrément drôle si cette mentalité bien partagée dans les « élites » n’était pas celle qui est en train de nous pourrir la vie à tous (et notre planète et nos écosystèmes au passage).