Grumpf

@Com une outre
Une réponse très « Agora Vox » du « problème ukrainien »...

@ETTORE
« En dehors de toute considération humaine, cet acte précipité, démontre la volonté irréfréné de certains intérêts très particuliers, dont les VIES humaines, n’ont qu’un intérêt somme toute négligeable, si ce n’est de faire de la place, en désherbant la terre, des considérés en moins que rien, se disant être fait, d’une autre peau, que celle de tout le monde. »

Vous pourriez aussi très bien appliquer cette phrases à la Russie et à la politique de russification mise en œuvre par l’armée russe en Ukraine.

« L’amoncellement des corps d’enfants, de femmes, d’hommes, s’élève comme un gigantesque mur d’obscénité »

Et celle-ci aux victimes civiles ukrainiennes...

Même si Trump négocie avec Poutine une désescalade du conflit, il n’en demeure pas moins que la Russie ne montre aucun signe de volonté sérieuse de négocier une fin de la guerre en Ukraine, car ses objectifs stratégiques vont bien au-delà d’un simple règlement territorial ou politique. Le Kremlin vise non seulement à affaiblir l’Ukraine, mais à provoquer la capitulation complète de son gouvernement et la destruction de l’État ukrainien en tant qu’entité souveraine et indépendante. Ces ambitions s’inscrivent dans la logique impérialiste de Moscou, qui perçoit l’existence même d’une Ukraine indépendante et pro-occidentale comme une menace existentielle pour son influence géopolitique et son régime autoritaire. En refusant d’engager des discussions sérieuses, même si Poutine le laisse parfois penser, le gouvernement russe cherche à maintenir une pression militaire et économique maximale sur l’Ukraine, espérant épuiser sa capacité de résistance tout en exploitant les divisions au sein des soutiens occidentaux de Kyiv. Cette posture intransigeante reflète également la stratégie de Poutine, qui a fait de la guerre en Ukraine un élément central de sa politique intérieure, visant à renforcer sa légitimité et à consolider son pouvoir en exacerbant le nationalisme russe. Ainsi, tant que ces objectifs de domination totale ne seront pas atteints ou jugés irréalisables, il est peu probable que la Russie accepte de participer à des négociations de bonne foi.

@Maître Yoda
« Russophobe » : adjectif utilisée par la propagande russe pour justifier l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

@Jelena
>> Evidemment, Lvov, c’est un des noyaux durs du banderisme. Chez eux le mépris des russes, des juifs, des polonais ou des hongrois, c’est institutionnel.
Vous écrivez « Lvov » et non « Lviv », on comprend tout de suite la teneur de votre commentaire. Evidemment, vous disposez d’éléments factuels étayés de sources fiables permettant de prouver vos allégations.

>> Sur place, on dit les ukrainiens ou les russes.

Et cette confusion est effectivement utilisée à merveille par la propagande russe : un ukrainien russophone équivaut à un russe.

>> Malheureusement, les ukrainiens se sont fait lessiver le cerveau... Ils s’imaginent que tous leurs malheurs viennent des russes, alors qu’ils viennent de leurs politicards mafieux.

Oui, bien sûr. Alors qu’en Russie dirigée par un gouvernement mafieux et kleptocrate, tout va pour le mieux. Quant à l’histoire russe, elle est pavée de cadavres ukrainiens. Mais chut, surtout ne dites rien !