1/ Tu lis en diagonale. Je n’ai pas remis en cause la formation des parents. Lis bien.
2/...il s’agissait d’exemples...
3/ Tant mieux pour toi mais malheureusement ton cas est loin d’être une généralité, surtout avec les nouveaux diplômés. D’ou la nécessité d’essayer quelque chose de nouveau.
/* désolé pour mon message au mauvais endroit, je repost pour la cohérence de la discussion */
@ dan54 : non mais sincèrement, un peu de bon sens : combien de parents ont conseillé à leur enfants de s’inscrire en Histoire, Philo, Socio ou encore Arts Plastiques pour leur garantir un travail ? Ton propos illustre précisément ce magma dont je parlais.
@ le péripate : je pense qu’il ne l’ont pas appris justement. Car tout content de pouvoir donner leur point de vue, vu que c’est nouveau pour eux, ils se trompent souvent de moyens d’actions pour ancrer de manière positive leurs idées dans la société.
Et par rapport à l’article, il est triste de constater que ce sont souvent les 1ères années qui constituent les piliers de ces mouvements de grève.
Quand je vois dans des facs de Lettres des amphis de 400 personnes en Philo je me pose des questions... Et me dit qu’un peu de rationalité économique ne ferait pas de mal à ce système à bout de souffle. Et pourquoi pas si la situation s’arrange à revenir à quelque chose de moins « libéral » dans le futur. Enfin dernier point, que les nostalgiques semblent oublier, c’est que les 30 glorieuses avec sont bien terminées. C’est surement dommage, mais on ne peut pas faire autrement !
@ dan54 : non mais sincèrement, un peu de bon sens : combien de parents ont conseillé à leur enfants de s’inscrire en Histoire, Philo, Socio ou encore Arts Plastiques pour leur garantir un travail ? Ton propos illustre précisément ce magma dont je parlais.
@ le péripate : je pense qu’il ne l’ont pas appris justement. Car tout content de pouvoir donner leur point de vue, vu que c’est nouveau pour eux, ils se trompent souvent de moyens d’actions pour ancrer de manière positive leurs idées dans la société.
Et par rapport à l’article, il est triste de constater que ce sont souvent les 1ères années qui constituent les piliers de ces mouvements de grève.
Quand je vois dans des facs de Lettres des amphis de 400 personnes en Philo je me pose des questions... Et me dit qu’un peu de rationalité économique ne ferait pas de mal à ce système à bout de souffle. Et pourquoi pas si la situation s’arrange à revenir à quelque chose de moins « libéral » dans le futur.
Enfin dernier point, que les nostalgiques semblent oublier, c’est que les 30 glorieuses avec sont bien terminées. C’est surement dommage, mais on ne peut pas faire autrement !
@ Ceri :
Je crois entendre le même discours que me servait mes étudiants anti-CPE. Quel magma idéologique ! Les AG sont tout sauf de la démocratie sincèrement.
Et puis y a t’il un mal à rationaliser certaines facs qui sont en « surproduction » ? Si tu savais combien d’étudiants attendent d’être en Master pour se poser la question de « que faire après ? ». La vérité, c’est que beaucoup de facs sont des planques compte tenu des possibilités d’assimilation du marché de l’emploi. Et j’irai même encore plus loin, si le travail manuel était un peu plus valorisé en France, on aurait peut-être un peu moins de pb.
Personnellement pour revenir à l’article, compte tenu de l’absence de recul historique, moral, idéologique, de la majorité des étudiants, j’ai toujours trouvé dangereux les syndicats en milieu étudiants. Pour moi cet article reflète bien le décalage entre la réalité et l’idéologie (quelle qu’elle soit). Comme c’est très justement dit plus haut, les conflits d’intérêts prennent rapidement le pas sur le reste.