La personne qui a rédigé cet « article » fait partie de l’église de scientologie. Cette secte, depuis sa fondation par quelqu’un qui voyait des soucoupes volantes, mène une guerre sans merci et sans aucune bonne foi contre la psychiatrie. A nouveau nous avons affaire au pâté d’alouette scientologue : une petite vérité de la taille d’une alouette et un cheval de mensonges et de mauvaise foi.
Le problème de la liberté qui se pose avec acuité depuis l’arrivée de Sarkozy au pouvoir ne dépend pas des psychiatres qui n’ont pas voulu cette remise en cause du système législatif actuel. Cette évolution comporte des aspects dangereux mais il faudrait en discuter sérieusement et de façon non partisane. Un scientologue qui recrute pour sa secte est la personne la moins bien placée pour cela.
Pourquoi s’étonner du ton venimeux de M. Bilger ? Son article me rappelle la morale de la fable du scorpion et de la grenouille : personne ne peut aller contre sa nature et il ne sert à rien de blamer le scorpion qui tue celle qui s’était offerte après beacoup d’hésitations à faire traverser la rivière à son bourreau.
Comment M. Bilger qui doit toute sa carrière et sa position sociale au statut de courtisan du pouvoir en place pourrait-il écrire autre chose sur M. Badinter que ce qu’il écrit ? Comment un serviteur comme lui peut-il comprendre un homme de conviction qui a passé l’essentiel de sa vie dans l’opposition ? Comment un partisan des puissants comme lui pourrait-il comprendre un défenseur des principes humanistres du droit comme Badinter ? Comment une marionnette comme lui peut-il comprendre un homme, un vrai, comme Badinter ?
Inutile de s’indigner le scorpion crache son venin il ne nous reste qu’à l’écraser sous la botte de notre mépris.