Waouuuuh Easy ! Magnifique démonstration. Qu’est que c’est bon quand on fait des phrases et des phrases, et que ça va même chercher des références pour dire, en substance :
Je ne vois pas pourquoi on n’aurait pas pu téléphoner depuis un avion en 2001 quand on sait que : 1) des gens ont essayé d’utiliser leur téléphone. 2) il est interdit d’utiliser son ordinateur portable en avion.
CQFD. Imparable....
Je rajouterai juste cet argument qui va dans le même sens :
Si il n’était pas possible de téléphoner depuis un avion, quelqu’un peut il m’expliquer pourquoi tant de gens prendraient ils la peine d’emporter leur téléphone portable lorsqu’il prennent l’avion ?
M’ouais.... mais qu’est ce qui vous prouve que cette fausse carte n’a pas été réalisée par les djilhadistes musulmans eux-mêmes, précisément dans le but faire croire après coup à une manipulation des services secrets ?
Faudrait pas non plus prendre les musulmans pour des amateurs.... D’ailleurs si c’étaient des amateurs, comment auraient ils pu réaliser des attentats aussi complexes ?
Donc reprenons depuis le début et vous allez voir que tout s’explique le plus simplement du monde :
Mr Laden décide tout d’abord de réunir en catastrophe une dizaine de ses copains en turban dans la dernière grotte à la mode, et leur tînt à peu près ce langage : « Cher kamarades kamikazes, c’est assez ! Nous avons été suffisamment spolié. Il suffit. Voici venu l’ heure de se venger des ignobles yankees.
Il Allah ensuite chercher un tableau véléda (afin ne pas laisser de thraces) et leur tînt à peu près ce langage : »Voici mon plan diabolique. Nous allons tout d’abord nous introduire (nonchalamment, mais presque) dans plusieurs avions, que nous irons ensuite prestement fracasser dans les tours à popol (vers qui, naturellement, se porteront alors les soupçons, dès lors s’apercevra qu’il vient tout juste d’assurer ses jumelles contre un précipitage aérien.
Ensuite, nous aurons soin de laisser négligemment choir un permis de conduire antidaté ainsi que le passeport brûlé de feu Mohammed, que ces crétins d’américains s’empresseront d’utiliser comme preuve de notre implication. Preuves, qui tôt ou tard, se retourneront contre eux, tandis que les conspirationnistes en herbe répandront sur le net la théorie dite « des tours défoncées au pétard ». Aussi mes frères arabes seront-ils blanchis aux yeux des occidentaux et les yankees bien attrapés.
N’est-ce pas délicieusement rocambolesque et admirablement machiavélique, lança t’ il alors pas peu fier ?
-Certes, le plan est astucieux, hasarda un turban. Mais ne courre t’ on pas le risque d’être interceptés en vol ? -Mais non. assura Mr Laden. ce qui rassura son collègue.
Dès lors, le plan fut adopté. Les activistes s’activèrent et les barbus berbères frappèrent.
Las, leur petite combine ne blousa point Doubleyou, qui, connaissant la chanson, ouvrit grand la Busch, rit jaune, mais riposta. Les huiles du Pentagone en firent tout un fromage et volèrent leu voler leur huile.
Quant aux naïfs conspirationnistes, ils n’y virent que du feu, et jurèrent, mais un peu tard, qu’on ne les y prendrait plus.
Moralité :
On
voit ici que de jeunes enfants, surtout de jeunes filles belles, bien
faites, et gentilles, font très mal d’écouter toute sorte de gens, et
que ce n’est pas chose étrange, s’il en est tant que le loup mange. Je
dis le loup, car tous les loups ne sont pas de la même sorte ; il en est
d’une humeur accorte, sans bruit, sans fiel et sans courroux, qui
privés, complaisants et doux, suivent les jeunes demoiselles jusque dans
les maisons, jusque dans les ruelles ; mais hélas ! Qui ne sait que ces
loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux
"Il ne faut que du babil pour en imposer au peuple, écrivait Gregoire de
Nazianze à Saint Jerôme, Nos Pères et Docteurs ont souvent dit
non ce qu’ils pensaient, mais ce que leur faisaient dire les
circonstances et le besoin."
« Il ne faut que du babil pour en imposer au peuple, écrivait Gregoire de Nazianze à Saint Jerôme, Nos pères et nos docteurs, ont souvent dit, non ce qu’ils pensaient, mais ce que leur faisaient dire les circonstances et le besoin. » Louis Jacolliot, Christna et Christ. p22