Au risque de passer pour une empêcheuse de rouler en rond, je dirais que : même si la prune était un peu salée et l’attitude des agents de la force publique un peu rude... Pourquoi les cyclistes ne seraient-ils ou elles pas verbalisables ? Une de mes amies s’est fait renverser sur le trottoir par un cycliste qui n’a même pas pris la peine de s’arrêter. Alors les vélos en liberté c’est formidable si la liberté de chacun, à pied, sur deux ou quatre roues est respectée par les uns, les unes et les autres. Ca et quelques petits principes du code de la route et tout le monde pourrait s’entendre. Un rêve !