Ou pourra aussi faire remarquer qu’il n’y pas non plus ce problème en anglais. Ni en espagnol. Quand à dire « défendons l’anglais » en français dans le sens « interdiction », il me semble que c’est incorrect grammaticalement (il aurait fallu dire « défendre l’anglais de faire quelque chose »).
Aucune confusion n’est donc possible sur le titre de l’article.
Par ailleurs nous commençons à savoir que vous êtes pro-espéranto, ce n’est pas la peine de rajouter un paragraphe là dessus dans chacun de vos messages.
On ne vous accuse pas de tous les maux (si vous le croyez alors la paranoïa vous a rattrapée). Beaucoup d’entre nous participants essayons d’avoir une discussion ouverte (et ceci des deux côtés). Le fait que vous ne vous ouvrez pas assez à la discussion, que vous campez résolument sur vos positions et que -par voie de conséquence- vous vous répétez beaucoup est avéré. On ne vous a jamais que je saches accusé de quoi que ce soit d’autre.
Je passe sur l’emploie soudain de majuscules, que l’on vas mettre sur le compte de l’exaltation.
Pour finir sur une note plus légère, vous considérez vraiment Tom Cruise comme un artiste ?
Krokodildo :
Mon qualificatif de « normaux » était sans doute mal choisi, je voulais plutôt exprimer une nuance du genre « militant »/« pratiquant ». Pour reprendre votre analogie avec les écologistes, ils y a ceux qui crient sur tous les toits « Tout va mal ! Il faut réagir ! Il faut démanteler toutes les centrales nucléaires en 2 ans ! Il faut remplacer tout le parc de centrales à énergies fossiles par des éoliennes sous 48 heures ! » et ceux qui, tranquillement, en silence, prennent le bus pour leur déplacement, utilisent des ampoules basse consommation et débranchent leurs magnétoscopes. Faire partie d’une des deux tendances n’exclut pas de faire partie de l’autre, mais ce que dans l’absolu on a besoin, ce sont les seconds.
Enfin, pour réagir à l’idée de Funram selon quoi pour s’imposer une langue devrait posséder un vocabulaire strictement utilitaire (dans les sens où à un concept correspond un mot et un seul), je ne pense pas que ce soit une si bonne idée. Déjà parce que ce serait renoncer à l’utilisation littéraire du langage, et le condamnerai à un strict usage de communication. Par ailleurs serait-il toujours possible « d’improviser » quand on ne le maitrise pas très bien, d’utiliser nos connaissances. Je veux dire par là que le maitriser ne serait surement pas aisé et risque de réserver son usage à ceux qui ont fait l’effort de l’apprendre en profondeur -Le réservant à une élite.
J’ignorais donc tout cela, il est dommage que si peu de pub soit faite autour, je suis certain que beaucoup de personnes y trouveraient intérêt (imaginez un groupe de rock espérantiste faisant un succès, tous les jeunes voudraient apprendre l’espéranto, comme il semble que ce soit les cas aujourd’hui avec Tokyo Hotel et l’allemand).
Mon « vous » était bien sûr adressé à Henri Masson et aux quelques autres espérantistes qu’il m’a été donné de croiser en ces lieux, je suis plutôt rassuré de voir qu’il existe aussi des espérantistes « normaux ».