Bravo ! Je suis surpris de voir un tel article aussi peu politiquement-correcte sur Agoravox.
Je me désole tous les jours de voir se ramollissement des hommes. Tant pour ces mecs qui ne savent plus où se placer et qui sont en concession constante avec autrui, tant pour ces femmes qui cherchent des hommes, des vrais, qui sont des piliers sur lesquels s’appuyer.
La nature n’étant pas constante, les règles sociales non plus, je veux croire que ce n’est que le retour de bâton des siècles passés de patriarcat.
Moi même, père de famille, je crois que je deviendrais
fou si cela arrivait à un de mes enfants. L’horreur de vivre la mort de
ses mômes.
MAIS ... dans ce blog où on prône la tolérance, le non traçage, le libre
choix ... je suis un peu surpris de ces propos. Ne devons nous pas
laisser une deuxième chance aux gens qui ont commis une erreur de
parcours. Déscolariser un gamin à 15 ans, c’est le meilleurs moyen de le
pousser vers la délinquance.
Bonjour Au début, je me suis demandé quelle féministe pouvait avoir écrit cet article. Je suis abasourdi de constater que c’est un homme, d’âge mûr qui plus est !!!
Je trouve votre ton un peu docte et condescendant.
Ma réponse, se voulait un rebond à la fin de l’article : « Je rate ainsi des tas d’appels mais tant pis, ma compagne est enceinte c’est le plus important ! »
Par ailleurs, d’autre études soulèvent l’idée que la présence d’hormones de synthèse dans notre nourriture, provoquerait une féminisation des mâles, et donc une baisse de fertilité. Dire que les ondes radio induisent une baisse de la spermatogénèse, est un raccourci que seul les Robins des Toits peuvent se permettre, non ?
Enfin, est-ce si grave d’avoir une baisse de fertilité ? On trouve encore le moyen de baisser de 25% notre taux de natalité, en avortant une ville comme Bordeaux chaque année en France. C’est bien la preuve que nous faisons encore « trop » de bébés.
Je porte mon téléphone portable dans la poche de pantalon, ou accroché à la ceinture depuis bientôt 15 ans. Et pourtant je suis le père de deux enfants de 1 et 3 ans. Alors bien sûr vous me direz que nous ne sommes pas tous égaux devant la maladie, mais en l’occurrence, il ne faut pas non plus pousser la paranoïa technologique.