Me fait penser à un Strasbourg-Paris en TGV. Un groupe de 5 djeuns insultaient tout le monde à bord, à qui mieux mieux et à qui en voulait du « nique ta mère » et autres « fils de pute » pour ne citer que cela (on s’en contentera) et prenaient les passagers à parti qui, eux, regardaient leurs souliers. J’avoue qu’à l’époque, je découvrais avec effarement la richesse de cette diversité sans y avoir jamais été vraiment confronté.
Le contrôleur se pointe, leur dit trois mots à l’oreille et les gars se calment. Je vais voir le contrôleur pour connaître sa potion magique : ils les a menacé d’une amende... Incroyable mais vrai. Le contrôleur ne disposait pas de leur identité, et j’imagine difficilement ces djeuns la lui remettre. Mais ils ont gobés le coup de l’amende ! Comme quoi, ne jamais sous estimer, effectivement, leur état « d’agnelets », surtout cérébral. Soit dit en passant, c’est aussi ce qui les rend vulnérables aux idéologies les moins évoluées...
Bravo. Il est temps d’ouvrir les yeux. Ceux qui conspuent les résistants de racistes seront les premiers à les appeler au secours lorsqu’ils auront le couteau sous la gorge.
« Et de fait, c’est souvent l’intention », confirme la
chroniqueuse qui raconte qu’à Saint-Denis, des musulmans militants
« prient
en pleine rue alors que leur local permet tout à fait d’accueillir les
fidèles à l’intérieur » : « Du coup, on imagine l’exaspération
des habitants qui vivent autour. Rue Myrha, si vous décidez de passer
quand même, un homme vous intime l’ordre de longer le mur. Les
commerçants doivent cesser leur activité et la circulation est
détournée. »