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Harry Kampianne

Harry Kampianne

Cinéphage, fashion victim...quand je veux, glamoureux suivant mon envie, amoureux des planches, des mots et des lettres, adorateur de toute paresse féline, désinvolte en survie, surdoué sous-doué...ou vice-versa, optimiste désespéré, muséophile, chineur débridé, à cheval sur le Pont des Arts, je vous salue.

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  • Premier article le 30/10/2021
  • Modérateur depuis le 06/01/2022
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Derniers commentaires



  • Harry Kampianne Harry Kampianne 1er novembre 2021 00:13

    @velosolex
    Merci
    Je m’apprête à en approcher l’intrigue



  • Harry Kampianne Harry Kampianne 31 octobre 2021 23:12

    @velosolex
    Rassurez-vous quand la passion s’emballe, le clavier a parfois du mal à suivre. J’en suis moi-même victime.
    S’agissant de « Hérétiques » de Padura, que je viens de m’offrir hier, il fait partie de mes prochaines lectures. Nous aurons peut-être l’occasion d’en parler lors d’un prochain échange.
    Je vous souhaite en tout cas une bonne fin de soirée.



  • Harry Kampianne Harry Kampianne 31 octobre 2021 15:59

    @Aristide
    Bien sûr que tout le monde ne peut pas être artiste, écrivain, cuisinier, musicien, chanteur, danseur...
    L’artiste quel qui soit doit passer par les techniques du savoir faire et non du faire savoir que « je suis artiste ». Ingres ne disait pas autre chose que « le dessin est la probité de l’art », Là, je ne parle pas de coller au réel du motif,, il s’agit de lui rendre une âme et une force comme disait ce merveilleux peintre Jean Jacques Henner et bien plus tard Matisse.
    Par ailleurs, après relecture de mon article, je vois pas où ai-je affiché mon mépris pour le marché, je ne fais que constater les dérives d’un pouvoir basé sur des tendances et des modes faisant de l’ombre à tous ces artistes qui travaillent vraiment sans être attaché aux coteries (et il y en a plus que vous pensez) et qui méritent d’être soutenus financièrement (hé oui !). L’artiste n’est pas affilié aux intermittents du spectacle.
    Concernant les blocs de l’est dont vous parlez, j’y suis allé plusieurs fois et dernièrement pour visiter des amis artistes à Saint-Pétersbourg. Leur conception de l’apprentissage dans les écoles d’art reste très académique durant les deux voire les trois premières années (ce qui n’est pas un mal) et la sélection est plus rigoureuse qu’en France. Néanmoins allez leur dire à ces jeunes générations (qui pour beaucoup ne sont dénués de talent) que les œuvres des anciens du bloc de l’Est étaient admirables, ce que l’on appelait à l’époque le « réalisme socialisme », ces artistes propagandistes (pour une poignée d’entre contraints et forcés) d’un régime totalitaire affichant à son actif quelques millions de morts ! Hors contexte politique, j’admets que d’un point de vue esthétique, certains paysages et portraits sont très intéressants mais ce ne va plus loin.



  • Harry Kampianne Harry Kampianne 31 octobre 2021 15:25

    @Samson
    Pour appuyer votre commentaire sur l’usurpation des Faux sur le marché de l’art, je vous recommande le semi-docu d’Orson Welles F for Fake, titre français Vérités et Mensonges (1973) sur l’un des plus grands faussaires du 20ème siècle Elmyr de Hory. Mais peut-être l’avez-vous déjà visionné ?



  • Harry Kampianne Harry Kampianne 31 octobre 2021 15:16

    @Fergus
    Choisir d’être d’artiste, artisan, musicien, écrivain, peu importe le métier choisi mérite d’être rémunéré. 
    Et sur ce point, je rejoins Fergus. Les œuvres de commandes ne datent pas d’hier. Bien sûr, les époques changent. Le Net, les réseaux sociaux et la haute technologie ont changé la donne. Je dirais même que la palme du grand « n’importe quoi » revient à Marcel Duchamp et son urinoir qui lui n’y voyait au début qu’une blague de potache, lui même influencé par les dadaïstes (Tristan Tzara et autres) et les Incohérents (Toulouse Lautrec, Caran d’Ache, Aristide Briant et quelques autres illuminés du Chat perché). Les artistes portés les coteries du marché de l’art, je dis tant mieux pour eux, je ne leur jette pas la pierre. Ce qui m’intéresse, ce sont les artistes qui sortant des codes et des tendances, peinent à vivre de leur art. 

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