Votre article est bon pour les premières années de science-eco de 1960. Vous avez plus d’un siècle de retard. Bien sur 71 et la désindexation, 73 et cette loi inique Pompidou-Giscard-Rotchild, 73 et le premier choc pétrolier, 74 et le regroupement familial, tous ces événements nous furent désastreux. Sans parler de 2005, l’apothéose. Aujourd’hui, en urgence, c’est sur le vivant que doivent se porter nos préoccupations. Nous souffrons dans notre chair de ces décisions inconsidérées et ce ne sont pas ces pantins sans pouvoir que nous élisons qui changeront quoi que ce soit. Quant à la monnaie, la dette en est le meilleur exemple. Mais ce n’est pas l’urgence.
Ils parlent du Peuple, mais que savent-ils du Peuple ?
Ils parlent des prisons, mais que savent-ils des prisons ?
Ils parlent de la « drogue », mais que savent-ils de la « drogue »
C’est Attal qui nous parle de procréation...
Quelle dérision.
Leurs seules possibilités sont des effets d’annonces qui restent lettre morte sans effets. Ils ne sont que les acteurs d’un mauvais scénario qui s’écrit à Bruxelles et auquel il ne peuvent rien changer. Pour pouvoir changer quoi que ce soit, il faudrait sortir de ce carcan qu’est l’europe, l’Otan et ’Euro, ce qui est irréalisable. Nous sommes condamnés à subir pour de longues années ces pantins et leurs maîtres jusqu’à la prochaine guerre dont il est impossible d’en prévoir les effets à courts termes, pas plus que d’en connaître le début. Mais seule une guerre pourra briser ces liens pour retrouver nos frontières, notre souveraineté et notre pouvoir décisionnaire. En espérant ne pas en avoir d’autres.
@ETTORE Vous avez tout à fait raison, le risque actuellement est même plus que présent. Mais vous raisonnez en temps de paix. Si un conflit éclate, nous serons tous au même niveau, eux comme nous et ils seront contraint d’y participer. Cette cinquième colonne n’aura aucune raison d’exister. Néanmoins toutes les guerres se terminent un jour et c’est à ce moment là qu’il faudra être vigilant. Malheureusement nous n’en pouvons prévoir ni le début, ni la fin, ni le résultat, ni qui aura le dernier mot. La guerre des genres a déjà commencé, la guerre des sexes aussi, il reste la guerre des nations et les guerres de religion. La guerre économique est une fiction. Après...